Alana Zimmer - Canadienne - 1m80 - 79/58/86

y

Agences

Elite
Ford NY

Vogue Russie

Novembre 2008

Tom Munro

y

Another Magazine

Printemps / Eté 2009

Paul Wetherell

Autres modèles

yyyby Yann Gabin

Alana Zimmer possède ce côté racé des filles de bonne famille. Un port de tête de reine, un regard intelligent, une présence remarquable, une beauté raphaélique, des ingrédients necéssaires à un futur Top.... Cette ressemblance troublante et indéniable avec l'actrice Marisa Berenson lui donne cette classe inébranlable. Cette canadienne âgée de 20 ans commence déjà à avoir un beau parcours derrière elle. Son agent de Toronto, Elmer Olsen, ne tarie pas d'éloge sur son parcours. Il avoue même qu'elle possède un sacré potentiel : "Son corps parfait, sa peau claire et lisse, son look plus qu'interessant en font un fille banquable". Comme l'industrie de la mode le nomme, Alana a le "facteur X", ...
Tout commence à l'été 2005, lorsqu'Alana travaillait à mi-temps chez East Side Mario's. Elle est repérèe par un client dont l'un des ses meilleurs amis travaille dans le business de la mode à Milan. Quand cet dernier arrive au Canada, en novembre 2005, on lui parle de cette jeune fille incroyable repérée dans ce magasin. Il s'y rend et la convainc absolument de tenter le mannequinat. Il la présente à trois agences avec qui il a l'habitude de traiter : Elite, Ford et Elmer Olsen. Les trois agences sont intéréssées. Mais, c'est Elmer Olsen, qui tombé sous le charme de la belle canadien, la fait signer dans son agence.
Alana se rappellera toujours des premières rencontres avec son agence mère :"Elmer Olsen était vraiment fou de moi. Il avait fait des polas et me les avaient envoyés. Il m'a fait remarquer que je devrais me laisser pousser les sourcils et arrêter de me les épiler. Comme faisaient toutes les adolescentes de mon âge. Cela te donnera plus de force en photo ainsi qu'un petit air de Brooke Shield". Quand elle y repense, cela la fait toujours autant rigoler. En février, le père d'Alana, Josh, l'amène à Toronto pour faire un autre Test photo. Alana portait un jean, un petit top et juste un peu de Gloss. A cette période, Alana n'était pas encore très sure de vouloir devenir mannequin. Même si, elle avouait être consciente de sa beauté, ce monde ne l'attirait pas beaucoup. Alana avoue : "J'étais très inquiète à la seule pensée de porter de très hauts talons. Je mesure 1m80 et donc n'en porte jamais. Pourquoi devrais-je porter des talons puisque je suis dèjà très grande". Neanmoins, son agent lui conseille de s'exercer à en porter. "Met à fond la musique et marche chez toi avec de hauts talons. C'est vraiment important pour un mannequin d'être parfaite sur les podiums".
En avril, elle signe avec l'agence Supreme à New-York. Les choses bougent alors très vite. La bookeuse qui s'occupe de son planning, l'appelle les jours suivants pour la faire venir à Toronto, afin de lui proposer des premiers engagements. Néanmoins, Alana veut se concentrer sur ses études, tout en poursuivant son travail d'étudiante. "Tout en moi résistait pour ne pas faire ce job. Depuis l'âge de 5 ans, j'ai toujours voulu aller à l'université afin de réaliser de bonnes études. Je pensais que le mannequinat n'était pas un job pour moi". A l'exception d'un voyage scolaire en Alberta, Alana n'avait jamais quitté sa famille. Après Toronto, des contrats et engagements arrivent de New-York, puis de Londres. Alana trouve incroyable de faire traverser l'océan à un mannequin pour juste une simple photo. Mais si ce métier l'exige, Alana décide de se plier à ces règles particulières.
Le premier voyage fut le plus dur. Elle se souvient de son premier week-end à Londres : "Je me suis sentie comme un bébé. J'étais perdue. Je ne pouvais pas rester toute seule". Néanmoins, Alana sait qu'elle ne veut pas d'une vie ordinaire. Mais, extraordinaire. Extraordinaire a été l'une de ses premières séances photos, l'une de ces séances photos qui comptent, pour le magazine Numéro avec le photographe Daniel Jackson. Un rêve pour un mannequin débutant. Sachant que Numéro fait partie des magazines ou l'on doit être si l'on veut faire partie de l'Elite. Sa première saison de shows, elle enchainera plus de quarante-deux shows entre Toronto, New York, Paris et Milan pour des marques comme Marc Jacobs, Chanel, Miu Miu, Chloe, Christian Dior, Prada, Jil Sander and Dolce and Gabbana.... Avant chaque défilé, le designer explique à chaque mannequin comment elles doivent se comporter sur le podium : Sérieux, Sexy ou Forte sont les mots qui reviennent le plus souvent. "Une fois, sur une défilé Chanel, une personne de l'équipe m'a dit qu'il y avait un look par fille et donc une attitude par fille. Elle a voulu que je rigole. Je l'ai fait". "Pour moi, c'est vraiment difficile de rester sérieuse sur un podium. J'ai envie de rire toutes les cinq secondes". Cependant, Alana veut rester elle-même lors de la saison des défilés. L'éducation de ses parents reste très ancrée et présente. Elle se veut toujours polie, amicale et relaxe avec tous les gens avec qui l'entoure, même lors de cette période stressante.
La hiéarchie des filles lors des défilés l'a beaucoup marqué. Il y a d'un côté les super-models, les nouvelles filles de l'autre, puis les russes, les brésiliennes d'un autre. "C'est parfois difficile quand tu débutes. C'est un peu comme des clans".

"Personne n'est vraiment typique dans ce métier. Certaines personnes n'ont pas de famille. La mode est toute leur vie". Sa mère Colleen a passé quelques jours avec elle, à New-York, puis à Paris, pour lui tenir compagnie. Après chaque voyage, Alana revient directement chez elle. "A chaque fois que je reviens à la maison, je me sents tellement différente. Personne ne comprend réellement ce monde tant que tu n'es pas plongée dedans". Par conséquent, avec ses nombreuses absences, Alana a perdu de vue quelques amis de longue date. Elle ne pense pas avoir vraiment changé mais elle d'accord avec ce qu'une amie lui a rétorqué un jour : "Il y a l'Alana Mannequin et l'Alana de l'East Side". "C'est tout à fait vrai" avoue t-elle. Le meilleur conseil qu'on lui a dit lui vient d'un autre mannequin. Cette dernière lui a signifié que le meilleur moyen de survivre dans ce business était de rester soi-même, d'être toujours la même personne, de ne jamais se travestir, d'être une personne vraie".

Ses couvertures

Ses photos 1
Ses photos 2
Ses photos 3

Ses photos 4
Ses photos 5
Ses photos 6

Ses publicités