Carey Mulligan - Actrice Anglaise |
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Vogue Australie Janvier 2018 Emma Summerton |
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Harper's Bazaar Uk Décembre 2014 Alexis Lubomirski |
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Un faciès d'ange ? De Lolita timorée ? Voire d'ingénue ? Telles pourraient être les premières impressions que l'on perçoit en observant de plus près la ravissante Carey Mulligan. Toutefois, en faisant abstraction de son physique de première, on éprouve un réel émoi, à la limite du descriptible. Celui qui peut transcender les foules. Carey excelle dans ce registre et demeure une véritable actrice. Née le 28 mai 1985, elle grandit à Londres, puis en Allemagne. Carey découvre l'univers théâtrale lors de ses études à la Woldingham School. Une passion est née. Mais, il faudra attendre l'année 2009, ou elle irradiera les écrans de son charme candide, dans le très contreversé "Une éducation" de Lone Scherfig. Un rôle en Or puisqu'elle recevra un British Academy Film Award de la meilleure actrice dans un rôle principal, ainsi qu'une nomination de la meilleur actrice aux Oscars (Reçu, cette année là, par Marion Cotillard). | ||||||
Cependant, ses premiers personnages proviennent de la télévision. Elle améliore son jeu d'actrice en travaillant sur des séries britanniques comme "Bleak House", "The Amazing Mrs Pritchard", "Scotland Yard, crimes sur la Tamise", "Northanger Abbey", "Doctor Who" ou des films pour la télévision comme "Miss Marple : Le Mystère de Sittaford". Toutefois, son premier film cinématographique se présente rapidement, en 2007 : "And When Did You Last See Your Father?" d'Anand Tucker. | ||||||
Et, les propositions s'emballent. Si ses rôles restent bien souvent ceux d'une jeune fille naïve, découvrant les travers de la Vie, comme dans les films "Une éductation" de Lone Scherfig, "Orgueil et Préjugés" de Joe Wright ou dernièrement dans "Shame" de Steve McQueen, ses préstations demeurent très remarquées aussi dans des genres différents. Comme dans "Pour l'amour de Bennett" de Shana Feste (2009), "Public Enemies" de Michael Mann (2009), "Brothers" de Jim Sheridan (2009), "Wall Street : L'argent ne dort jamais" d'Oliver Stone (2010), "Never Let Me Go" de Mark Romanek (2010), Drive de Nicolas Winding Refn (2011), Gatsby le Magnifique de Baz Luhrmann (2012), "Inside Llewyn Davis" de Joel et Ethan Coen (2013). Quand on analyse sa filmographie, on remarque que ses personnages s'épaississent au fur et à mesure de sa notoriété. Cette jeune comédienne Britannique reverbère une ivresse émotionnelle qui poussent notamment de nombreux réalisateurs à faire appel à ce don uniue et précieux. |
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