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Juillet/Août 2020
Par Yann Gabin
 

Kendall Jenner demeure une valeur sure lorsqu'il faut définir l'Art de vivre à la californienne. Mannequin ultra sollicité, tête bien faite dans un corps d'athlète, Kendall Jenner reste néanmoins ce modéle feminin accéssible, empathique, humble, qui de par sa notoriété, tente de mettre en avant des causes qui lui tiennent à coeur. Elle se bat,notamment, pour l'interdiction de vente libre des armes aux Usa. Par conséquent, en ces temps de pandémie mondiale, ou l'incertain parait comme le quotidien de tout un chacun, le Vogue Japonais a tenu à célébrer cette belle âme, tout en relayant cette maxime cruciale : "Positive Energy", seul moyen de faire face à cette adversité planétaire.

Kendall Jenner chez IMG

Kendall Jenner, au delà de faire partie de la célèbrissime famille Kardashian, sans omettre d'être la fille du fameux et incroyabletranssexuel, Caitlyn Jenner (Ex-Bruce Jenner), cette dernière est parvenue en quelques année à gravir les sommets du mannequinat international. Cette célèbrité, issue de prime abord, de la télé-réalité, a su optimiser, à la fois, son extrême photogénie tout en mixant son savoir-faire poussé dans le domaine des réseaux sociaux (131 millions de Followers seulement sur Instagram). Deux atouts lui permettant une reconnaissance fulgurante et instantanée, aussi bien auprès des internautes que des acteurs de la mode mondiale. Egérie de la maison de cosmétiques Estée Lauder, Kendall est devenue un mannequin singulier dont la silhouette demeure actuellement l'une des plus prisée. Ces derniers shootings apparaissent comme le Must de la profession. Couverture du Vogue Paris par David Sims (Spécial Anniversaire pour les 95 ans); Campagnes publicitaires Fendi par Karl Lagerfeld; Mais, surtout un nombre exponentiel de shootings pour la bible de la mode américaine, le Vogue Usa, avec les photographes Mert Alas et Marcus Piggott (Décembre 2015); Gregory Harris (Novembre 2015); Inez Lamsweerde et Vinoodh Matadin (Septembre 2015); Mario Testino (Avril 2015); Patrick Demarchelier (Février 2015); David Sims (Janvier 2015); Bref, une indéniable et véritable Muse 2.0.

YG
Les couvertures à retenir au mois de Juillet 2020
Mica Argañaraz pour Vogue Paris ; Une rose rouge d'Irving Penn pour Vogue Usa ; Anisa Omae, Rachel Millar et Narguis Horsford pour Vogue Grande-Bretagne ; Binx Walton pour Vogue Italie ; Kendall Jenner et Stella Maxwell pour Vogue Japon ; Paysage pour Vogue Allemagne ; Naomi Campbell pour Vogue Espagne ; Lou Doillon pour Vogue Russie ; July Donghyu Zhou pour Vogue Chine ; Teresa Cristina pour Vogue Brésil ; Amber Valetta pour Vogue Hollande ; Elizabeth Jagger, Georgia May Jagger et Cate Blanchett Vogue Australie ; Limber Martinz et Patricia del Valle pour Vogue Mexico ; Kourtney Kardashian Vogue Arabie ; Kim Taeri pour Vogue Koréa ; (?) pour Vogue Hong-Kong ; Ros Georgiou pour Vogue Grèce ; Giselle Norman pour Vogue Ukraine ; Alexandra Agoston pour Vogue Pologne ; Kylie Jenner pour Vogue Tchécoslovaquie ; Marjan Jonkman, Simona Kirchnerova pour Vogue Portugal ; Lady Gaga pour Numéro France ; Marta L pour Numéro Tokyo ; Adut Akech, Adwoa Aboah, Grace-Elizabeth, He Cong, Kaia Gerber, Lila Moss, Lola Nicon, Mariam de Vinzelle, Mica Argañaraz, Rebecca Leigh Longendyke, Rianne Van Rompaey, Ugbad Abdi, Vaughan Ollier et Zso Varju pour V Usa ; (?) pour W Usa ; Emma Chamberlain pour Allure Usa ; Rosalia pour Elle Usa ; Margarita Gambles pour Elle Uk ; Christy Turlington et des activistes pour Harper's Bazaar Usa ; Ashley Graham pour Harper's Bazaar Uk ; Helena Christensen pour Harper's Bazaar Espagne ; Pharrell Williams pour i-D Magazine ; (?) pour Glamour France ; Julia Stegner pour Porter Magazine ; (?) Air France Madame ; Rachel Roberts pour Marie-Claire Italie ; Mélanie Laurent pour Marie-Claire France ; Rebecca Leigh Longendyke et Lola Nicon pour Self-Service ; Bella Hadid, Erin O'Connor, Lily McMenamy, Nyasha Matonhodze, Sienna Miller et Rafferty Law pour Love Magazine ; Jamie Helms et Lola Nicon pour POP Magazine ; Anja Rubik, Chloé Sévigny, Eliza Douglas, Lily McMenamy pour Purple Magazine ; Lola Nicon pour Another Magazine.
Saint-Laurent Printemps/Eté 2020 par Anthony Vacarello

La tour Eiffel, monument emblématique de notre chère capitale, Paris, illumine de sa silhouette majestueuse chaque nuit parisienne. Mais, aussi, depuis quelques saisons déjà, l'esplanade du bassin du Trocadéro pour les podiums YSL. Un impact visuel incontestable et incontournable, qui ne peut que sublimer n'importe quelle mise en scène théâtrale, cinématographique ou un simple défilé. Particulièrement, ici, les silhouette Yves Saint-Laurent par Anthony Vacarello. Ce dernier l'a bien saisi et n'a pas choisi ce lieu au hasard. Il a su tirer profit de cette référence architecturale mondiale pour encrer les fondamentaux identitaires de la maison Saint-Laurent comme une marque profondément parisienne. Quoi de plus iconique que la Tour Eiffel pour signifier son appartenance à Paris ? A notre chère patrie Francaise. Paris demeure la capitale de la mode. Et, le restera encore longtemps. Saint-Laurent fait partie de ses "incontournables". Un monument iconoclaste qui fait rêver à hauteur des collections Saint-Laurent. Une fois encore, Anthony Vacarello, a su créer, avec brio, des silhouettes désirables pour le Printemps/Eté 2020. Les shorts sont micros-micros. Toutefois, portés avec des vestes aux carrures strictes et de longilignes bottes caramel, ils en atténuent le côté un peu trop affriolant. Parfois licencieux. Un bermuda en denim, aux ourlets effilés, "grungy" à souhait, s'accommode d'une veste droite, en velours Anthracite, gansée de galons en satin opaque et de boutons dorés. La veste smoking, manches courtes, s'enfile juste "comme ça". Avec semble-t-il avec un microshort en cuir. Toutefois, on ne le discerne pas. Démoniaque. Beaucoup de looks bleu marine insufflent cet esprit intemporel si cher à monsieur Yves Saint-Laurent. Les escarpins aux lanières de cuirs fines se ligotent du fameux logo YSL. Puis, arrivent les silhouettes aux tissus somptueux, à la fois de part leur complexité technique mais aussi de part leurs broderies intenses et alambiquées. Des arabesques, des lamés, des motifs floraux, de l'or, beaucoup d'Or, des velours intenses aux couleurs Saphir, Emeraude, Améthyste. Les promesses d'un Orient sublimé. Mais pas que. Yves Saint-Laurent aimait se confronter aux différentes cultures pour sublimer un vêtement. Il y a de la collection Opéra et Ballets Russes. On en retrouve, ici, les prémices avec ces couleurs chatoyantes et matières luxueuses. Mousselines, soies, velours lamés et jeux de transparence. Puis, Anthony Vacarello achève cette présentation par des tenues beaucoup moins pompeuses. Totalement anthracite, les robes bustiers se découpent par de savantes formes concaves ou convexes. On contourne un sein pour le sublimer. On le cache pour en magnifier et surligner un autre aspect. Les smokings font la part belle à cette dernière partie de présentation. Ils se parent de sequins, portés sur un pantalon, corsaire ou mini short. Il y en a tellement qu'il serait ardu de ne pas repérer son smoking cette saison. Quelle femme ne peut se projeter dans ces silhouettes attrayantes, séduisantes, enchanteresses. L'allure demeure classique dans la forme. Toutefois, le fond, et particulièrement au sein de l'agencement du stylisme, on perçoit cette recherche subtile pour allier configurations habituelles stylistiques avec allures irrévocablement proches des "Milléniales". On discerne une envie palpable de donner un enseignement "Mode" à ceux qui n'ont pas connu les belles années de Monsieur Saint-Laurent. Autrement dit, faire redécouvrir une époque disparue. Yves Saint-Laurent aimait explorer l'art et les diverses cultures afin d'idéaliser l'idée de son vêtement. Ce fut le cas avec la collection Opéra et Ballets Russes de 1976, ou Monsieur Saint-Laurent avait adoré mixer la Russie des Tsars avec celle du faste de l'Opéra. Anthony Vacarello a su, une fois encore, restituer totalement cet esprit Saint-Laurent, tout en le projetant entièrement dans ce fameux "air du temps". Un triomphe de plus.

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Saint-Laurent

Printemps/Eté

2020

Matthew M. Williams, nouveau DA chez Givenchy

Début Avril, le départ de la créatrice Clare Waight Keller de la maison Givenchy en avait surpris plus d'un. Simplement parce que l'on pouvait supposer qu'elle soit la parfaite personne à incarner ce poste de Directrice Artistique. Que nenni. Reset. On annule puis on renouvelle rapidement le profil en recrutant un "inconnu", dont le CV apparait presque à l'opposé du précédent. Qui aurait spéculé sur la nomination du jeune trentenaire, Matthew M. William, à la tête de la Direction Artistique de cette maison prestigieuse. Pas grand monde. Si ce n'est Sydney Toledano, PDG de LVMH Fashion Group, qui a soufflé le nom de ce talent à Renaud de Lesquen, PDG maison. Inconnu du grand public, ce californien, aux connexions "Fashion" poussées, a notamment développé son univers et imaginaire créatif auprès de marques pointues du Street Wear de luxe. Ainsi, il a pu déployer aisément ses "armes" auprès du collectif Haus of Gaga (Marque appartenant à Lady Gaga) ; puis a été proche collaborateur de Kanye West pour sa marque Yeezy, avant de créer son propre label sous le nom Alix 9SM. En 2016, il participe au LVMH Prize ou il se fait repérer par les têtes pensantes et créatives du groupe LVMH. Puis, on lui propose de collaborer avec Kim Jones pour son premier défilé chez Dior Homme. Des expériences qui lui permettent d'acquérir rapidement les clés fondamentales pour développer aisément une marque comme Givenchy. C'est pourquoi Matthew M. William n'aura pas de problème à reprendre les rênes des collections féminines et masculines, avec une première présentation prévue dés le mois d'octobre. Un vrai challenge. Les dirigeants de LVMH ont pour objectif de recouvrer l'augmentation du chiffre d'affaires, qui avait été multiplié par quatre entre 2010 et 2015, sous l'ère de Ricardo Tisci. On souhaite, donc, à Matthew M. William tout le succès possible. Et qu'il arrive surtout à concilier collections iconiques et désirables, tout en amplifiant les chiffres des ventes.

Hyun Ji Shin chez IMG
Hyun Ji Shin débute sa carrière en gagnant le concours de mannequin Next Top Model Koréa, saison 4. Cette émission télévisuelle lui permet de décrocher la couverture du W Koréa ainsi qu'un contrat avec l'agence Next. Un excellent départ pour cette jeune novice. Sa mère l'encourage et la pousse à devenir mannequin profesionnel car elle perçoit sa détermination et croit dur comme fer au potentiel de sa fille. Longiligne (1m75), Hyun Ji Shin décide de faire totalement confiance en sa première Fan, sa mére. Ses premiers shootings la confortent rapidement dans l'idée que ce métier correspond totalement à ses attentes et son état d'esprit. A 18 ans, elle s'envole pour Sydney pour rejoindre ses grand-parents. Par conséquent, elle change d'agence et opte pour l'agence IMG Australie. Un pays qu'elle adopte de suite pour des raisons simples : la mer, les plages, le soleil et un certain art de vivre. C'est un peu cliché mais ces atouts indéniables apparaissent comme des conditions de vie adéquate pour poursuivre une carrière de mannequin. Le magazine Elle australien lui propose de shooter avec George Antoni. Suit le Marie-Claire Indonésie avec Roy Peri. Puis, les mensuels Vogue Koréa et Vogue Chine font appel rapidement à sa fraicheur et bonne humeur. Des excellents supports lui permettant rapidement de construire un book "Béton". Ainsi, ses véritables débuts à l'international, se réalisent, en Septembre 2016, lors du marathon de la Fashion Week Printemps/Eté 2017. De castings en castings, la jeune coréenne décroche vingt-sept défilés au sein des quatre capitales de la Mode dont Rodarte, Prada, Dries van Noten, Isabel Marant et Miu Miu. Cette Sud-coréenne a su adopter ce métier avec une facilité déconcertante. On comprend aisément pourquoi Hyun Ji Shin ait pu séduire Karl Lagerfeld pour la campagne Chanel, Steven Meisel pour la campagne Max Mara ou bien Willy Vanderperre pour la campagne Calvin Klein. On peut suivre ses pérégrinations au travers de son fil Instagram: @iamhyunjishin.
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Lidl une marque qui sait gagner des points Mode.

Le phénomène Mode inattendu se trouve actuellement chez Lidl. Et, oui qui pouvait le croire et l'imaginer ? La marque de distribution "Hard Discount et grand public" ne s'attendait pas à un raz de marée sur quatre de ses articles Mode sorti début juillet : les claquettes à 3.99 euros, les chaussettes à moins d'un euro, le T-shirt masculin au prix de 3.99 euros et les baskets, un poil rétro, aux couleurs primaires, au doux prix de 12.99 euros. Lidl promeut sa propre ligne, en utilisant son trio de couleurs phares (Rouge, bleu et jaune), en tentant d'en faire des produits désirables et hautement attrayants. Ceux qui peuvent totalement l'être pour des fashionistas qui se veulent toujours plus cools et souhaitant surtout se différencier en cassant les codes de la Mode en attestant que ce qui peut être sans grosse valeur peut-être intégralement Hype. Quatre produits au design simple mais pratique qui ont tendance à nous faire méditer à ce que peut être un produit phare. Un phénomène mode qui avait été déjà insufflé par Demna Gvasalia dans certaines collections pour les maisons Balenciaga et Vêtements, en mettant en avant des sociétés comme DHL (Vêtements) ou des associations humanitaires chez Balenciaga comme Action contre la Faim. Tous chez Lidl.

Chanel Printemps/Eté 2020 par Virginie Viard
Les toits en zinc de Paris, ses cheminées, gouttières, velux et chiens assis, demeurent à perte de vue sous les verrières du Grand Palais. Probablement une vue des toits des ateliers du 29 et 31 rue Cambon. Pourquoi pas ? Un décor un peu tristounet à mon goût ; nous éloignant de la contemplation et la rêverie si cher à l'imaginaire du Kaiser Karl Lagerfeld. Après les reconstitutions du rivage de la Mer de Sylt, d'un petit village suisse enneigé, d'une forêt automnale, d'un paquebot de croisière ou des chutes d'eau tropicales, on recouvre promptement une réalité que l'on a qu'une envie : "fuir". On ne veut pas de grisaille. Toutefois, et heureusement, les silhouettes en tweed colorées apparaissent rapidement et égayent ces couvertures aux couleurs orageuses. Des tweeds complétement classiques dont les couleurs carmin, anthracite, outremer et immaculé me font méditer aux couleurs de notre chère nation française. Idée cocasse que d'affabuler quelques looks de collants opaques charbonneux. Surtout pour l'été caniculaire. Peut-être est-ce une réminiscence des exhalaisons de suie des cheminées parisiennes. Des imprimés en mousseline sombre reprennent les contours de toitures parisiennes, mais tout en discrétion. Quelques profils de bâtiments Parisiens sur une robe et trench. Des combi-shorts en tweed donnent un coup de fouet aux frêles silhouettes de Sophie Dahl ou d'Abby Champion. Les codes Chanel se retrouvent avec parcimonie autour d'un T-shirt manche longue s'estampillant de logo au double C, de quelques escarpins à bouts noirs ou de colliers en pâte de verre. Des shorts en cuir s'agrémentent d'une simple veste en Tweed. Quand ils ne deviennent pas presque seconde peau pour les tenues du soir comme sur Grace Elizabeth, Luna Bilj ou Gigi Hadid. Tels les shorts lycra de Zizi Jeanmaire. Beaucoup de noir et blanc pour les derniers passages. Une collection qui s'exprime autour d'un minimalisme assuré, tout en conservant les fondamentaux identitaires maison. Une rigueur assumée qui se définit par une éradication certaine de fantaisie. Parfois, cela fait du bien de revenir aux bases strictes. Une collection parfaitement adaptée à plusieurs saisons, et non seulement au Printemps/Eté 2020.
 

Chanel

Printemps/Eté

2020

Les chiffres du deuxième trimetsre en berne chez Kering..
La crise du Covid-19 a été une déflagration sans égale pour le secteur du Luxe et de la Mode. Même si certains marchés ont déjà amorcé une reprise des ventes comme la Chine et la zone Sud-Est pacifique, les chiffres restent cependant préoccupants. Le groupe Kering publie déjà ses premiers chiffres, avec une chute de son bénéfice Net de 53%, à 272 millions d'Euros, au lieu des 579 millions d'euros engrangés à la même période (en déduisant le redressement fiscal record, en Italie, lié à la marque Gucci à hauteur de 1,25 milliard d'euros), l'année passée. Toutefois, François-Henri Pinault reste, malgré tout, confiant sur l'avenir de son cheptel, notamment depuis la réouverture de certains magasins qui ont fait revenir la clientèle locale (Chine continentale et Europe). Les six premiers mois 2020 deviendront surement un cas d'école. Toutefois, c'est seulement le deuxième trimestre qui demeure alambiqué car les ventes ont accumulé une baisse de 43%, pour s'établir à 2,17 milliards d'euros. Mais, la marque phare, Gucci a engrangé sur cette même période trois milliards d'Euros de vente. Quant à Yves Saint-Laurent, ses ventes ont baissé de 30%. Bottega Veneta a connu une baisse de 8,4%, ce qui n'apparait pas démesurée, compte tenu du contexte international économique extraordinaire. Le confinement ainsi que le fait de ne pouvoir voyager a pu mettre en avant favorablement le modèle économique du commerce en ligne. Avec un bond de 72% de vente supplémentaire constatée au deuxième trimestre. Henri-François Pinault reste positif même s'il avoue qu'il sera difficile de rattraper le chiffre d'affaires du 2ème trimestre. Ne lui reste plus que le dernier semestre pour tenter d'essuyer les plâtres de cette pandémie économique. Mais espérons et souhaitons en premier lieu que la santé de tous soit préservée. Primordial, n'est-ce pas ?
 
Révélations des podiums Printemps/Eté 2020
YG
Achenrin
Agi
Akon
Anna
Ashley
Berit
Madit
Akur
Changkou
Francesca
Radjarame
Heitmann
Premium
IMG
Women
Silent
IMG
Ford
 
Bori
Brooke
Elsemarie
Evie
Fuyao
Ilona
Burka
Robinson
Riis
Harris
Li
Desmet
Oui
Next
2PM
Ford
IMG
Girl
Kaila
Karlijn
Krini
Lissandra
Liza
Lys
Wyatt
Kusters
Hernandez
Blanco
Popova
Lorente
Elite
Elite
Elite
IMG
Premium
Premium
YG
Martha
Mika
Nike Praesto
Ning
Pan
Patrycja
Massiel
Schneider
Nordstrom
Jinyi
Haowen
Piekarska
IMG
Elite
Oui
Viva
Elite
Elite
YG
Penelope
Ruiqi
Sacha
Sculy
Silte
Zso
Ternes
Jiang
Quenby
Melia
Haken
Varju
Women
Marilyn
Women
Premium
Oui
Premium
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New-Faces à suivre en 2020
- Abby Champion - Cynthia Arrebola - Cyrielle Lalande - Deirdre Firinne - Felice Nova Noordhoff - Hyun Ji Shin - Jill Kortleve - Lola Nicon - Maggie Maurer - Maria Miguel - Miriam Sanchez - Olivia Vinten - Oudey Egone - Pan Haowen - Tian Yi - Ugbad Abdi - Vaughan Ollier - Vilma Sjoberg - Zso Varju -
Au Top en 2020
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