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PlaneteMode.com
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Pour en revenir à la petite histoire, Edie a été découverte par l'agence Storm à Londres. Après un shooting pour le British Vogue, dont la thématique avait pour but de mettre en valeur la jeunesse promettante et dorée de Londres, Edie Campbell est de suite repérée par l'oeil averti du photographe Mario Testino. Ce dernier n'hésite pas à l'appeler pour intègrer le casting final d'une des campagnes publicitaires les plus attendues d'Angleterre : Burberry. Ainsi, la saison suivante, elle se retrouve en train de sautiller entre Lily Donaldson et Agyness Deyn. Sympathique pour un début. Néanmoins, Edie reste encore attachée à sa vie de jeune adolescente et préfère réserver le mannequinat comme un loisir à mi-temps. Elle se concentre sur ses études et sortira diplomée de la Paul's Girls de Londres. Toutefois, elle subodore que sa dégaine de midinette britannique peut plaire. Qu'il y a eventuellement un coup à tenter. Edie décide de réorienter son parcours vers celui du modeling. Et, tout lui donne raison. Elle est castée rapidement pour des histoires Mode pour les différentes éditions du magazine Vogue (Italie, Usa, Grande-Bretagne, Paris, Japon ou Allemagne), mais aussi pour des magazines comme Pop, Self-Service, I-d, Self-Service ou Numéro. Ainsi, il n'est pas étonnant d'apercevoir la silhouette gracile d'Edie à l'affiche de nombreuses campagnes publicitaires comme Alexander McQueen, Louis Vuitton, Jil Sander, Lanvin, Marc Jacobs, Saint-Laurent, Egérie du parfum Black Opium d'Yves Saint-Laurent, Isabel Marant, John Galliano, Diesel, Michael Kors, Versace, Fendi, Zara, Calvin Klein CK One, Roberto Cavalli, Mango, H&M... Bref, On ne les compte plus tellement Edie est devenue un visage incontournable du monde de la mode et de la publicité. | ||||||||||||||||||||||||
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Les
couvertures à retenir au mois de Septembre 2017
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Edie Campbell pour Vogue Paris ; Jennifer Lawrence pour Vogue Usa ; Edie Campbell, Jean Campbell, Kate Moss, Nora Attal, Stella Tennant pour Vogue Grande-Bretagne ; Maria-Carla Boscono, Vittoria Ceretti, Lily Aldridge pour Vogue Italie ; Anna Ewers, Doutzen Kroes, Joan Smalls, Lara Stone, Natasha Poly, Vittoria Ceretti pour Vogue Japon ; Claudia Schiffer pour Vogue Allemagne ; Bella Hadid pour Vogue Espagne ; Natalia Vodianova pour Vogue Russie ; Anna Ewers, Bella Hadid, Chu Wong, Fei Fei Sun pour Vogue Chine ; Bella Hadid pour Vogue Brésil ; Meta Gewald, Nandy Nicodeme, Nirvana Naves pour Vogue Hollande ; Lineisy Montero pour Vogue Mexico ; Julia Hafstrom, Charlee Fraser et McKellam Hellam pour Vogue Turquie ; Bella Hadid et Jordan Barrett pour Vogue Australie ; Bella Hadid pour Vogue Arabie ; Gigi Hadid pour Vogue Koréa ; Charlee Fraser pour Vogue Ukraine ; Sarah Brannon et Stella Maxwell pour Numéro France ; Luma Grothe pour Numéro Tokyo ; Chun Xia pour Numéro Chine ; Magdalena Frackowiack pour Numéro Russie ; Katy Perry pour W Usa ; Lady Gaga pour V Usa ; Kim Kardashian pour Interview Usa ; Helen Mirren pour Allure Usa ; Alicia Vikander pour Elle Usa ; Cara Delevingne pour Elle Uk ; Adriana Lima, Candice Swanepoel, Irina Shayk, Joan Smalls pour Harper's Bazaar Usa ; Kristen Stewart pour Harper's Bazaar Uk ; Mathilde Henning, Paris Jackson, Selena Forrest pour i-D Magazine ; Jena Goldsack pour Glamour France ; Blake Lively pour Glamour Usa ; Adrienne Jüliger pour Air France Madame ; Kasia Smutniak et Alba Rohr Wacher pour Marie-Claire Italie ; Ola Rudnicka et Valerija Kelava pour Marie-Claire France ; Nicole Kidman, Iman, Kate Moss et Kesewa Aboah pour Love Magazine ; Alek Wek, Carolyn Murphy et Brooke Shield pour POP. | ||||||||||||||||||||||||
Louis
Vuitton Automne/Hiver
2017/2018
par
Nicolas Ghèsquière
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Cette saison, Nicolas Ghésquière et son équipe se sont surpassés sur le choix du lieu de la présentation Automne/Hiver 2017/2018. Un espace incroyable que je n'aurai jamais pensé "prêtable" pour un défilé : le prestigieux musée du Louvre. Quant on possède les moyens financiers de Louis Vuitton ainsi que les bons réseaux relationnels, tout doit être jouable. N'est-ce pas ? Ce lieu historique demeure majestueux et extraordinaire pour une collection qui se veut, une fois de plus, résolument tournée vers l'avenir. Les œuvres classiques, spécialement les immenses statues de marbre blanc, tranchent distinctement chaque look, désigné par Nicolas Ghésquière. Inversement, cette mode d'hiver redéfinie une grande modernité aux œuvres présentes, datant de plusieurs siècles. Tout se fond à merveille. L'osmose parfaite. C'est Rianne van Rompaey qui ouvre le show, en exclusivité cette saison. Un manteau rectiligne Anthracite, en cuir souple ; une robe nuisette dorée enfilée sur un pantalon bicolore, aux bandes latérales immaculés. Un collier " fils ", en strass diamant, dévalant jusqu'au nombril ; Et, des boots carrés, noirs vernis, à l'inspiration "cowgirl" ; C'est le look Vuitton de la rentrée. On combine des matières aériennes comme la soie ou le satin avec des matériaux plus bruts comme le cuir, par exemple. La fourrure demeure assez présente et se portera, cette saison, en longs manteaux comme sur Natalie Westling ou en vestes, sans manches, comme sur Jing Wen ou Sarah Dahl. Visuellement parlant, elle parait "alambiquée", comme s'il y avait eu une savante combinaison de divers types de fourrures, générant ainsi des motifs singuliers et des jeux de couleurs captivantes. Magnétisant au final. La veste de Julia Nobis a une folle allure de Léopards des neiges. Elle évoque une sorte de félin "Vuitton-este". Les robes éthérées, en soies, aux tonalités douces (ciel, lait, or) s'amusent de la lumière, via un jeu de découpes en spirales. Le plus : ces nuisettes de jour s'enfilent sur des pantalons bicolores. La petite veste bleue électrique, zippée, de Mica Arganaraz, incarne totalement l'esprit des combinaisons de ski des années 60. Notamment, par son design. Les pantalons se raccourcissent légèrement. Les ceintures enserrent la taille. Les vestes en tweed s'inspirent de la veste du 31, rue Cambon. Des pull-overs recouvrent des motifs géométriques d'empreintes de pneus (Melody Vroom) ou de motifs Sud-Américains (Léa Holzfuss). Les tartans pailletés recouvrent des robes toutes simples, qui se construisent autour du cou, par le jeu d'une ou deux bretelles. Comme sur Heather Kemesky. Une collection étudiée et pointue qui me semble être plus facile d'accès que certaines collections précédentes. Toutefois, le seul frein restera, pour la grande majorité, les cordons de la bourse. | ||||||||||||||||||||||||
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Jean-Paul Goude devient le nouveau Directeur Artistique de la marque espagnole Desigual. Une maison de prêt-à-porter tournée vers un marché grand public, dans la veine des marques comme Uniqlo, H&M ou Zara. Etonnant pour la Maestro de l'image qui a, plutôt, l'habitude de collaborer avec des maisons Ultra-Luxe. Surement un nouveau défi pour ce touche-à-tout qui a mis son imaginaire à disposition de maisons comme Chanel (Parfum Chance), Kenzo (Prêt-à-Porter), Lacoste (Prêt-à-Porter), pour des couvertures et séries Mode pour le magazine Harper's Bazaar américain (avec des couvertures avec Paris Jackson ou Katy Perry), Prada (Parfum Candy avec Léa Seydoux), pour le grand magasin français les Galeries Lafayette, le magazine hyper Trendy V ou la marque Guerlain. Sa mission : redorer le blason de cette marque, considérée plutôt comme cheap et bas de gamme. Notamment, au travers de son image globale (Campagnes publicitaires et vidéos), d'une ligne de vêtements spécifiques et des futurs événements. La première collection "Capsule", designé par Jean-Paul Goude, sera dévoilée à la presse et aux acheteurs, lors de la Fashion Week New-Yorkaise, le 7 septembre. Une présentation attendue par la planète mode. Mais, aussi, par les 500 boutiques basées dans plus une centaine de pays. |
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Même si Miss Cong a beaucoup donné de sa personne au sein de la presse asiatique, sur des supports comme Vogue Chine, Elle Chine, Madame Figaro Chine, Vogue Japon, Marie-Claire Chine, L'Officiel Malaisie, Harper's Bazaar Chine, Modern Lady Chine, Elle Vietnam, son visage plait enormément à la clientèle européenne. Ainsi, le duo Dolce&Gabbana a craqué pour sa frimousse aux allures de Porcelaine et, l'ont booké, à deux reprises, sur leurs campagnes publictaires Prêt-à-Porter. D'autres maisons de luxe remarquent, aussi, sa fraicheur et son magnétisme singulier comme Benetton, Marni, Fenty by Puma, Jo Malone ou Coach. He Cong avoue aimer la mode et n'hésite pas à changer de style chaque saison, tout en privilégiant simplicité, confort et élégance. On peut suivre la belle chinoise au travers de son Instagram : @hecong. | ||||||||||||||||||||||||
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Une nouvelle édition du magazine Vogue sera lancée au début de l'année 2018. Celle du Vogue Polonais. Ce pays d'Europe de l'Est sera le vingt-troisième pays à se doter de cette édition de Mode préstigieuse. Un pays qui se veut être un marché en devenir pour le domaine des produits de luxe, prêt-à-porter, beauté et accessoires. Filip Niedenthal, qui a lancé le Harper's Bazaar, en Pologne, deviendra le rédacteur en Chef du magazine et, le top polonais, Malgosia Bela, le secondera en prenant en charge la partie Mode. On souhaite un succès certain à cette nouvelle édition du magazine Vogue. |
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Anna Ewers apparait comme l'une des nouvelles révélations de la Fashion Week Printemps/Eté 2014. Cette jeune allemande, originaire de Freiburg, a été aperçue sur les meilleurs podiums de la saison, avec à son compteur les shows d'Alexander Wang, Céline ou Isabel Marant. Anna, dont la physionomie apparait comme un savant mélange entre Lara Stone et Anna Paquin (actrice de la série True Blood) connait, à ce jour, une ascension fulgurante. Son allure dégingandée a été, de suite, repérée par le designer Alexander Wang. Ce dernier lui offre l'ouverture de son show Printemps/Eté 2014. Une place d'honneur qui lui vaut des confirmations immédiates sur d'autres cabines New-Yorkaises. Une présence un peu nonchalante, mêlée à l'image d'une jeune fille ingénue, permet de la différencier immédiatement de ses consœurs. Ayant déjà quelques belles séries Mode à son actif, tel que le Vogue Brésil, Anna étend son attraction physique au travers de nouveaux supports prestigieux tels que Vogue Paris, Vogue Grande-Bretagne, i-D Magazine ou W Usa. Repérée par Ashley Brokaw, casting Director de Prada, Anna pose langoureusement sur un transat, au côté d'Amanda Murphy et Cameron Russel, pour la campagne Cruise Prada Printemps/Été 2014. Une carte de visite non négligeable, lui permettant de faire circuler son composite plus facilement auprès des personnes influentes du métier. A l'heure actuelle, Anna Ewers demeure une New-Comer convoitée puisqu'elle réitère l'exploit de décrocher la campagne Prêt-à-Porter Prada Printemps/Eté 2014, au côté de seize autres New-Faces. | ||||||||||||||||||||||||
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Après la mise en avant du travail de la talentueuse créatrice française, Anne Valérie Hash, la Cité de la dentelle et de la mode de Calais ouvre ses portes au célèbre couturier Hubert de Givenchy. Une rétrospective qui porte sur les quarante années de créations. Une très jolie exposition qui aborde, à merveille, le style singulier de ce " grand " créateur de Mode français. Hubert de Givenchy entreprend sa carrière en 1952, alors qu'il n'est âgé que de 25 ans. On redécouvre ses pièces les plus avant-gardistes ainsi que sa vision personnelle d'une mode que se veut "mixable", à souhait. Et, oui, Hubert de Givenchy a été l'un des précurseurs dans l'art de pouvoir mélanger différentes pièces vestimentaires maison, à une époque, ou la mode était gouvernée par des codes vestimentaires rigoureux et stricts. L'exposition retrace l'ensemble de son parcours jusqu'au jour de son départ, en 1995. Propriété du groupe LVMH, depuis 1988, la maison Givenchy a su évoluer positivement, notamment sous l'égide des créateurs Alexander McQueen et Ricardo Tisci qui ont réussi avec brio à faire fructifier l'héritage maison. | ||||||||||||||||||||||||
Givenchy
Printemps/Eté
2017
par
Ricardo Tisci
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Pour sa dernière collection, pour la maison Givenchy, Ricardo Tisci a décidé de dévoiler son prêt-à-porter dans un jardin chimérique. Sous les lueurs nocturnes et les auspices lunaires, cette dernière collaboration veut, finalement, coaliser les éléments et énergies terrestres avec les derniers dessins du créateur. Avec une légère brise à la clé. Ainsi, on pénètre directement le sujet lorsque les premiers passages s'inspirent de reproductions de pierres semi-précieuses, ornant d'amples robes. Même si les imprimés se veulent un tantinet disproportionnés. De volumineux colliers de pierres semi-précieuses, aux grosses chaines "Bikers", encerclent les gorges de certains modèles. Minéral. On entend que des Oh… Minéral. Des tailleurs/pantalons Anthracite s'amusent de la lumière, par la grâce d'un tissu au reflet moiré. Des robes beiges, seconde peau, fusellent des silhouettes aux réminiscences du fameux style Alaia comme sur Nastya Sten ou Rianne van Rompaey. Des robes se superposent et tranchent par leurs couleurs acidulées : fuchsia/chocolat, carmin/mandarine, orange/grenat, comme sur Katlin Aas ou Jess PW. Une étoffe, aux rayures "Navy", est savamment redécoupée, créant une jolie composition florale contemporaine sur la jeune Lululeika. Les poches se font plus vastes que jamais. Des imprimés "Kaléidoscope", aux inspirations organiques, s'appliquent sur chemises et robes, comme sur Vittoria Ceretti, Camille Hurel ou Lorena Maraschi. Ces looks se veulent résolument "Stretch" et on peut les cumuler, les uns sur les autres. On n'hésite pas à amonceler, entasser et amasser. Les couleurs demeurent chatoyantes, scintillantes et flamboyantes. Comme sur Issa Lish qui amoncelle imprimés bayadères, pois multicolores et volants aériens. Une sorte de feu d'artifice crépusculaire. Comme si on pressentait la fin de la fin mais que l'on souhaitait en profiter jusqu'à la dernière seconde. Les cols se font "Pelle à tarte" ou "Mao". Le trench est d'une longueur à n'en plus finir. Il se substitue presque à une longue robe. Leurs zips se colorent de Violine ou de Turquoise et, tranchent sur la couleur Tabac. Les pantalons demeurent amples et prennent des tonalités de piments, comme sur la jeune Ava Dahlem. La besace, aux rayures anthracite et carmin, demeure piquante à souhait, telle une abeille. Pour sa dernière représentation chez Givenchy, Ricardo Tisci a fait jaillir une collection hyper joyeuse. Pleine de gaité. Une palette "colorielle" savamment usitée ; Ou les imprimés demeurent d'une richesse démente et subtile. Même si les ultimes looks persistent de cette empreinte de noirceur, si cher à Monsieur Tisci. On remercie ce génie du style qui a su renouveler, chaque saison, avec Brio, l'identité de la maison Givenchy. | ||||||||||||||||||||||||
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Mais que se passe-t-il dans l'une des plus anciennes maisons de mode française ? En Octobre 2015, Alber Elbaz avait été débarqué, du jour au lendemain, de la maison Lanvin, après quatorze années de bons et loyaux services. Et, voilà que Bouchra Jarrar, qui lui a succédé en Mars 2016, décide, à son tour, d'un commun accord avec la direction, de déserter le navire. Cela après avoir été nommée Officier des Arts et des Lettres. Etonnant. Depuis plusieurs mois, la créatrice française insistait, notamment auprès de la presse étrangère, qu'un soutien maison était indispensable à une réussite exemplaire de son travail. Bouchra avait été choisie pour l'élégance de son style et sa capacité à traiter le prêt-à-porter avec la même exigence que la haute-couture, mais, malgré le succès médiatique de ses premières collections, elle ne semble pas avoir réussi à rétablir un chiffre d'affaires, en baisse depuis 2013. Lanvin souffre. La seule issue est simple : un plan de relance, déjà requis par Alber Elbaz. En 2015, au moment de son départ, les syndicats, très inquiets, avaient dénoncé le mauvais climat social et l'absence de vision à long terme. Toutefois, après l'annonce du départ de Bouchra Jarrar, le message semble en partie avoir été compris, puisque les actionnaires, dont la femme d'affaires taïwanaise Shaw-Lang Wang, viennent de se décider à recapitaliser l'entreprise. | ||||||||||||||||||||||||
Le monde de la mode et des médias ont abondamment épilogué sur le cas d'Halima Aden lors du défilé prêt-à-porter de Max Mara Automne/Hiver 2017/2018 ou la jeune américaine apparait voilée lors de son passage sur le podium. Une première lors de la Fashion Week Milanaise. Son visage poupon exhibe une sérénité sans faille, sous son foulard foncé. Pourtant, une controverse s'amorce les heures suivantes le défilé. Peut-on laisser marcher sur un podium une femme dite "voilée". N'est-ce pas une provocation ? Pour Halima, il n'y a aucuns soucis. Musulmane, elle défend vivement le port du voile comme un signe de liberté et non comme celle d'une soumission. Halima est contre l'islamophobie. Son voile demeure le signe distinctif de sa religion qu'elle pratique avec ferveur et respect. Une façon de vivre. Miss Aden désire, plus que tout, poursuivre à le porter. Même pour les séances de Mode. Même, si cela déplait. A prendre ou à laisser. | ||||||||||||||||||||||||
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Haute-Couture
Automne/Hiver 2017: Qui a ouvert Quoi ?
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Alexandre Vauthier : Bella Hadid - Armani Privé : Zhenya Katava - Chanel : Faretta Radic - Christian Dior : Ruth Bell - Dundas : Marjan Jonkman - Elie Saab : Lex Herl - Fendi : Lexi Boling - Giambattista Valli : Katrin Zakharova - Iris van Herpen : Soo Joo Park - Jean-Paul Gaultier : Luca Adamik - Maison Martin Margiela : Leah Rodl - Ralph & Russo : Blanca Padilla - Schiaparelli : Lorna Foran - Ulyana Sergeenko : Faretta Radic - Valentino : Aurora Talarico - Versace Atelier : Lexi Boling - Viktor & Rolf : Lauren de Graf - Zuhair Murad : Sara Sampaio. | ||||||||||||||||||||||||
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Grace Elizabeth incarne une certaine idée que l'on pourrait s'imaginer d'une beauté classique américaine. Plus clairement : saine, sportive, compétitrice et volontaire. Bref, un joli brun de fille mixant, à la fois, les traits singuliers d'une Gisèle Bundchen, le regard de braise de Nadja Bender et l'allure tonique de Bella Hadid ; Une exquise alliance, braquant, ainsi, tous les regards sur cette gracile nord-américaine. Au delà d'un tas de louanges, Miss Elizabeth dispose de toutes les prérogatives nécessaires pour cartonner sur la scène internationale de la planète Mode. Originaire de Floride, Grace a abondamment posé pour la marque Guess ou elle déploie une plastique irréprochable. Toutefois, au mois de Novembre 2016, Grace Elizabeth rafle ses lettres de noblesse en étant confirmée par la célèbre maison de lingerie Victoria's Secret pour personnifier l'un de leurs nouveaux anges. Visage de la ligne de lingerie Pink, collection plus jeune de VS, Grace rejoint trois autres Tops adoubés par la multinationale américaine du sous-vêtements : Behati Prinsloo, Alessandra Ambrosio et Elsa Hosk. Parallèlement, Miss Elizabeth a su capter les podiums Trendy de la saison Automne/Hiver 2017/2018 comme Chanel, Fenty x Puma, Giambattista Valli, Stella McCartney, Mugler, Elie Saab, Redemption, Isabel Marant, Lanvin Off-White, H&M, Dolce&Gabbana, Missoni, Etro, Sportmax, Versace, Moschino, Max Mara, Fendi, Ralph Lauren, Michael Kors, Tory Burch, Philipp Plein, Carolina Herrera, etc… Sa baby-face suscite, actuellement, l'intérêt de tous les acteurs majeurs du secteur. C'est pourquoi on ne s'étonne pas que des photographes comme Richard Burbridge, Ben Hassett, Miguel Reveriego, Charlotte Wales, Cass Bird, Sebastian Faena, Emma Summerton, Inez Lamsweerde & Vinoodh Matadin, Paola Kudacki, Josh Olins, Camilla Akrans ou Théo Wenner l'aient choisi pour immortaliser leurs images Mode et Beauté. Véritablement, elle possède la grâce innée. | ||||||||||||||||||||||||
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Les
couvertures à retenir au mois de Juillet 2017
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Gisèle Bundchen pour Vogue Paris ; Zendaya pour Vogue Usa ; Carolyn Murphy pour Vogue Grande-Bretagne ; Grace Elizabeth pour Vogue Italie ; Anna Cleveland, Georgia Howorth, Molly Bair pour Vogue Japon ; Anna Ewers pour Vogue Allemagne ; Imaan Hammam pour Vogue Espagne ; Yasmin Wijnaldum pour Vogue Russie ; Freja Beha Erichsen pour Vogue Chine ; Mica Arganaraz pour Vogue Brésil ; Victoria Beckham pour Vogue Hollande ; Dilone pour Vogue Mexico ; Vanessa Moody pour Vogue Turquie ; Paris Jackson pour Vogue Australie ; Tilda Swinton pour Vogue Koréa ; Sofia Mechetner et Xavier Buestel pour Vogue Ukraine ; Cameron Russell pour Numéro France ; Petra Collins pour Numéro Tokyo ; Shu Jing Zhou pour Numéro Chine ; Natalia Vodianova pour W Usa ; Cara Delevingne et Dane de Haan pour V Usa ; Bill Skarsgard, Tom Holland, Mackenzie Davis, Timothée Chalamet et et Zazie Beetz pour Interview Usa ; Halima Aden pour Allure Usa ; Kate McKinnon pour Elle Usa ; Hailey Baldwin pour Elle Uk ; Gigi Hadid pour Harper's Bazaar Usa ; Ashley Graham pour Harper's Bazaar Uk ; Adwoa Aboah, Slick Woods pour i-D Magazine ; Faretta Radic pour Self-Service ; Ana Girardot pour Lui ; Vera van Erp pour Glamour France ; Ashley Graham pour Glamour Usa ; Nadja Bender pour Marie-Claire Italie ; Jessica Miller pour Marie-Claire France. | ||||||||||||||||||||||||
Saint-Laurent
Printemps/Eté
2017
par
Anthony Vacarello
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Saint-Laurent: Black out Total! Négatif. Simplement la personnification du Noir. L'espoir pur afin de dessiner une silhouette sans faute, sans méfait, sans crime. Ainsi, pour le Printemps/Été 2017, tout semble sombre chez Saint-Laurent. Pourtant, à y regarder de plus près, c'est un noir joyeux, festif qui encense et chante, également, l'absence de la couleur. Même si elles apparaissent "spartiatement", celles que Monsieur Yves Saint-Laurent affectionnait tant, on les flaire et hume subjectivement parlant. Elles demeurent utilisées par touches, via des tonalités sombres (bleu marine ou vert émeraude) ou étincelantes (or et argent). Ce qui compte, ici, ce sont les lignes, les formes, les proportions. Anthony Vacarello a aspiré à s'orienter vers un discours stylistique s'attachant explicitement au fond et, non la forme. Compréhensible puisqu'il appréhende, pour la première fois, le langage Saint-Laurent. Les codes maison subsistent toujours : smoking, transparence, sigle YSL, boléro, dentelles féminine à souhait, cuir souple... Il a raison de les traiter ainsi car c'est ce que l'on attend d'un designer habile. Qu'il reproduise l'essence Maison, mais avec sa personnalité. Le cuir demeure très présent sur le podium. Presque un leitmotiv. Pas de fanfreluche, de fioriture ou de superflu. Tout demeure élémentaire. Le jeans ample accompagne un bustier, en cuir souple, à la proportion d'un Botéro endimanché. Les manches bouffantes s'épanouissent à mi-épaules. Déstructuration. Anthony Vacarello focalise, abondamment, cette collection autour de propositions autour de l'épaule : elle est bouffante, étroite, large, concise, évasée, désorganisé... l'asymétrie demeure l'autre tendance significative de cette collection. Le reste de la collection se savoure comme un bon polar. Le trench se taille dans un Python glacé. Le sigle YSL se porte en pendants d'oreilles, via des talons vertigineux ou en broche dorée. Quelques pois dorés naissent sur certaines robes. Mica Arganaraz demeure absolument divine dans cette tenue dont les proportions déstructurées laissent distinguer son potentiel de séductrice féline. Le look de Binx Walton reste, par excellence, la robe à "effet podium". Celle qui fait jaser. Un bustier, en cuir dissymétrique, ne cachant qu'un sein. Le deuxième restant affabuler et grimer d'un point Argenté. Provocateur ? Exhibe ? Des termes que Mr Saint-Laurent savait grignoter avec parcimonie. Mais, toujours avec grâce. Ce qu'a parfaitement bien compris Monsieur Vacarello. Un imaginaire plutôt bien perpétré pour un premier défilé. | ||||||||||||||||||||||||
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Retenez bien ce patronyme : Marine Serre. Tout simplement, parce que cette franco-belge a empoché, de la main de Rihanna, le prix le plus convoité de la saison, pour un nouveau designer : le LVMH Price. Révélée comme meilleure jeune créatrice de l'année 2017, Marine Serre a été, également, bénie par les designers "Star" du groupe LVMH. Ce jury, composé de huit membres, symbolisent la "Dream Team" pour tous aspirants designers : Karl Lagerfeld (Fendi), Maria Grazia Chiuri (Dior), Humberto Léon et Carol Lim (Kenzo), J. W. Anderson (Loewe), Nicolas Ghésquière (Louis Vuitton), Marc Jacobs (Marc Jacobs), Phoebe Philo (Céline) et Riccardo Tisci (Ex-Givenchy). Un prix octroyant un prestige indéniable à celui qui le reçoit. Accélérateur de carrière et projecteur médiatique avéré, ce dernier est doté d'un montant de 300 000 euros ; Permettant de voir venir, sereinement, son avenir proche. Marine Serre sera accompagnée, pendant une année, de pointures de LVMH qui lui concéderont un maximum de bons conseils afin d'accroître l'ampleur de son entreprise, la faire perdurer et progresser. Un second prix, dit "Prix Spécial", a été décerné à Kozaburo Akasaka pour son travail sur la toile de Jean's. Un prix doté d'une valeur de 150 000 euros, ainsi que d'une année d'accompagnement par un Mentor du groupe LVMH. Les trois dernières éditions ont révélé des créateurs comme Thomas Tait, Marques'Almeida et Wales Bonner. Le Prix "Spécial" a, aussi, boosté le parcours et la visibilité d'autres lauréats comme Hood by Air, Jacquemus, Vejas et Miuniku. Pour résumer, on ambitionne un maximum de succès à notre petite Marine. | ||||||||||||||||||||||||
Kirin Dejonckheere apparait comme un beauté classique, presque evanescente. Avec ses longs cheveux blonds, son regard bleu Azur et sa peau laiteuse, Kirin possède cette présence indéniablement romantique qui en fait un mannequin fort demandé. Cette belge, découverte au travers les réseaux sociaux, a déjà eu le privilège de défiler pour les plus grands : Chanel, Valentino, Christian Dior, Lanvin, Rochas, Missoni, Salvatore Ferragamo, Louis Vuitton, Burberry, Narciso Rodriguez, Coach, Proenza Schouler, Tommy Hilfiger, etc.... Poursuivant ses études, Kirin n'avait pas vraiment d'idées à quoi pouvait ressembler une vie de modèle. Entre ce que l'on perçoit au travers des médias et la réalité, ce sont bien deux choses distinctes. Fana de sports divers et variés, comme le Jeet Kune Do (Sorte de Kung Fu), le foot ou des trecks en forêt, Kirin aime se dépenser et se défouler. Elle pratique, aussi, le Yoga depuis trois années, lui permettant de se sentir apaisée et moins agitée. Quand on lui demande de raconter une anecdote, elle repense surtout à la manière dont le booking du show Prada s'est réalisé. Kirin avoue que le job s'est déroulé très vite. "J'ai été contacté un jour avant le show, pour une éventuelle confirmation. J'ai réalisé le fitting une heure avant le début du show. Vraiment tout était "Last Minute". D'ailleurs, Kirin n'hésite pas à avouer que la période des Fashion Weeks est perçue comme un Boot Camp par de nombreux mannequins. "C'est un peu comme un stage de survie : il faut rester en bonne santé en courant d'un défilé à un autre, d'un fitting à un autre, d'un pays à un autre, rencontrer les clients, tout en restant toujours souriante et disponible". Bref, un véritable métier de relation publiques. | ||||||||||||||||||||||||
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Les collections prêt-à-porter reviennent perpétuellement et, pourtant, ne se ressemblent guère. Après l'annonce de la maison Givenchy, qui ne souhaitait pas faire défiler sa collection masculine cette saison, c'est au tour de la maison Margiela de ne pas présenter de collection Homme, lors de la Fashion Week, à Paris, fin Juin. Une décision prise en accord avec le nouveau directeur artistique, Riccardo Bellini, fraîchement intégré aux équipes maison, en Mars dernier. Ce dernier désire dévoiler autrement ses idées pour la ligne masculine et cogite, aussi, à la meilleure façon d'arborer les futures collections Margiela. Le but étant de positionner le prêt-à-porter masculin à hauteur des collections féminine et couture. Toujours, sous l'œil bienveillant du designer Maison, John Galliano. | ||||||||||||||||||||||||
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Cameron Russell est née le 14 juin 1987, à Cambridge, dans le Massachusetts. Elle grandit dans une famille d'entrepreneurs qui lui inculquent la persevérance et le goût de l'effort. En 2000, sa mère créé une société de location de voiture, nommée Zipcar, fondée sur l'autopartage. Une société qui demeure présente, aujourd'hui, dans plus de vingt états américains, ainsi qu'en Grande-Bretagne. Son père est ingénieur et président de GoLoco, une sociéte de Co-Voiturage ainsi qu'une entreprise de "Social Networking". Cameron connait, alors, l'engagement qu'il faut pour entreprendre et faire perdurer une entreprise. Toutefois, dès son plus âge, elle s'intéresse de près à la politique. Quelques amis proches, collaborant à la campagne présidentielle de Bill Clinton, lui arrange une entrevue avec le président, le 5 juin 1998. Le déclic pour ses futurs engagements. Après avoir délivré un discours au Massachusetts Institute de Technology, sa famille rencontre Bill Clinton. Ce dernier lui conseille de poursuivre le plus longtemps ses études, de développer ses relations et de tendre vers ses rêves et aspirations. Agée de 10 ans, ce moment précis marquera sa vie à tout jamais. En 2005, Cameron décroche le diplôme du "Commonwealth School". Toutefois, sa vie prend, aussi, un autre détour, en 2003. Sa mère cotoie un ami qui travaille chez Ford Models. Ce dernier la rencontre et tombe sous le charme de Cameron. Il décide de lui faire signer un contrat, dès 2004. En Juin de la même année, Cameron débute son périple sur les podiums de Prada et Fendi, à Milan. Un périple qui continue encore. Son book parle de lui-même. | ||||||||||||||||||||||||
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Les
couvertures à retenir au mois de Juin 2017
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Gisèle Bundchen pour Vogue Paris ; Elle Fanning pour Vogue Usa ; Alexa Chung pour Vogue Grande-Bretagne ; Bella Hadid pour Vogue Italie ; Jennifer Connelly, Léa Seydoux, Michelle Williams, Rila Fukushima et Nicolas Ghésquière pour Vogue Japon ; Saskia de Brauw pour Vogue Allemagne ; Jessica Chastain pour Vogue Espagne ; Natasha Poly pour Vogue Russie ; Karlie Kloss pour Vogue Chine ; Joan Smalls pour Vogue Brésil ; Romee Strijd pour Vogue Hollande ; Edita Vilkeviciute pour Vogue Mexico ; Sara Sampaio pour Vogue Turquie ; Naomi Watts pour Vogue Australie ; Léa Seydoux pour Vogue Koréa ; Doutzen Kroes pour Vogue Ukraine ; Cameron Russell pour Numéro France ; Molly Bair pour Numéro Tokyo ; Shujing Zhou pour Numéro Chine ; Natalia Vodianova pour W Usa ; Cara Delevingne et Dane de Haan pour V Usa ; Bill Skarsgard, Tom Holland, Mackenzie Davis, Timothée Chalamet et et Zazie Beetz pour Interview Usa ; Zoe Kravitz pour Allure Usa ; Missy Elliott pour Elle Usa ; Lana Del Rey pour Elle Uk ; Gigi Hadid pour Harper's Bazaar Usa ; Karen Elson pour Harper's Bazaar Uk ; Adwoa Aboah, Slick Woods pour i-D Magazine ; Faretta Radic pour Self-Service ; Ana Girardot pour Lui ; Vera van Erp pour Glamour France ; Priyanka Chopra pour Glamour Usa ; Marique Schimmel pour Marie-Claire Italie ; Léa Seydoux, Charlotte Gainsbourg et Isabelle Huppert pour Marie-Claire France. | ||||||||||||||||||||||||
Chanel
Printemps/Eté
2017
par
Karl Lagerfeld
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Le Data Center Chanel, immense plateforme rassemblant des systèmes de stockages informatiques, a été homologué par Monsieur Lagerfeld pour faire office de décor pour la présentation Printemps/Été 2017. Un environnement, un tantinet austère, qui j'avoue, m'apparaît peu encline à mettre en valeur une Mode pure Luxe. Mais pourquoi pas ? Une dissemblance qui me semble un excellent moyen de dévoiler que l'esprit Chanel peut infiltrer des endroits à 10 000 lieux du 31 rue Cambon. Deux robots, "ultra-léchés", ouvrent le show en tailleur aux formes totalement classiques. Présenté en deux tonalités : du blanc et du noir. La musique électronique mixée au légendaire titre de Donna Summer, "I feel love", me fait entrer dans la danse. Les imprimés "réseaux filaires" ou "carte informatique" s'approprient des soies, des cotonnades, des tweeds. Les couleurs flashy éclosent avec fulgurance sur les tailleurs. Véhiculant, ainsi, une sorte d'énergie électrisante, notamment lorsque l'étoffe intègre des fils irisés comme sur la jeune Selena Forrest. Les scratchs ou velcros ferment les vestes et jupes. Facile à enfiler et à ôter, ils demeurent un atout clé de cette collection. Le tweed s'inspire de "mappage" de réseaux informatiques pour engendrer des motifs dans l'air du temps. Le tout mélangé aux couleurs vives : Violine, Fuchsia, Outremer, Emeraude, Mandarine afin de "rebooster" les bon vieux classiques Chanel. Les chaussures restent un habile mélange entre chaussons de danses et spartiates spatiales. Ce qui dessine un pas aérien et céleste à celles qui décideront de les enfiler. En daim pêche ou gris souris, elles seront un des "Musts Have" de l'été. Les casquettes demeurent omniprésentes et reprennent, chaque fois, le motif du tailleur. Total Look Coco. De saison en saison, Karl Lagerfeld perpétue son "relookage" du style Chanel, en s'inspirant de domaines éclectiques. Ici, l'univers Informatique, avec, indubitablement, un clin d'œil aux réseaux sociaux. Et, particulièrement ici, à celui d'Instagram et de ses stars. Un domaine pointu, souvent méconnu de certaines générations. Néanmoins, Karl Lagerfeld a su retranscrire, avec Brio, le concept des technologies du Futur, au travers d'une mode Chanel, qui se veut, à la fois, intemporelle mais avec un œil toujours tourné vers l'avenir. | ||||||||||||||||||||||||
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Un nouveau parfum féminin arrive chez Chanel et demeure déjà dans les starting-blocks. Depuis Chance, il n'y en avait pas eu. Le patronyme en sera "Gabrielle". Prénommé comme la nouvelle ligne de sacs, qui a été présentée au mois de Mars, et dont les égéries sont Cara Delevingne, Caroline de Maigret et Pharrell Williams, cette nouvelle fragrance a été conçue comme un projet novateur. Les courbures du flacon traditionnel ont été réinterprétées, épurées, affinées avec des lignes rectilignes, encadrant le nom du Parfum, dans un simple carrée. Le bouchon se pare d'un joli beige-Ivoire. Une senteur élégante qui souhaite diffuser l'esprit de Mademoiselle Chanel, au travers de son tempérament de femme insoumise, libre, créative, passionnée et élégante. "Gabrielle" viendra enrichir la gamme des Hits Maison comme le célébrissime N°5, l'énigmatique N°19, le captivant Coco ou le fougueux Chance. En vente, dès le mois de Septembre 2017, la maison Chanel n'a pas tergiversé des heures, en sollicitant l'une de ses muses pour endosser son image : Miss Kristen Stewart. Souhaitons toute la Chance à ce nouveau venu. | ||||||||||||||||||||||||
Née le 18 mai 1992, à Londres, Adwoa Aboah apparait comme l'ouragan que l'on n'aurait pu prédire. Une raz-de-marée qui a deferlé sur la planète mode, en quelques mois à peine. Cette britannique de vingt-quatre ans est en train de truster toutes les Unes des magazines "Trendy". Pour résumer : Adwoa Aboah demeure omniprésente sur l'ensemble des supports Mode. Et seulement ceux qui comptent. Un véritable phénomène. Après la couverture du Vogue Italien du mois de Décembre 2015, par le photographe Tim Walker, Adwoa Aboah commence à se faire connaitre du milieu des designers, stylistes et casting directors. Son visage expressif, parfois un peu mélancolique, plaît. Ses cheveux rasés lui donnent de la personnalité. Une facette un tantinet Rock, à la Deborah Dyer du groupe Skunk Anansie. Aussi, Adwoa possède de nombreuses expressions faciales qui en font un régal pour les photographes et stylistes. Une comédienne incarnée. Au delà de ses facultés intrinsèques, Adwoa demeure bien plus qu'un simple visage sur papier glacé. C'est une personnalité fragile,sur d'elle même et confiante à la fois. Sa voix rauque et grave lui permet de se faire entendre rapidement de son entourage. Ce qui lui a permit d'endosser le rôle de porte-parole pour son association, prénommée "Gurl Talks". Après avoir connu quelques graves déboires (Tentatives de suicide, cure de désintoxication et dépression), Adwoa s'est investit dans son projet personnel qui a pour but de soutenir et secourir les jeunes adolescentes à décrocher de leurs problèmes addictifs. Elle tente de les aider au travers divers supports (Films, interviews, voyages, projets personnels, groupe de discussion) à exorciser leurs démons personnels comme les troubles mentaux, la boulemie, l'anorexie ou autres addictions. Un moyen salvateur d'aider les autres tout en s'aidant soi-même. | ||||||||||||||||||||||||
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Après le départ du designer Vedette, Peter Dundas, en Octobre 2017, la maison de Prêt-à-porter Roberto Cavalli n'avait pas désiré communiquer sur le futur prédécesseur. Trouver un designer, à la hauteur de la tâche, ne paraissait pas aussi facile et aisée. Ainsi, faute de designer maison, la maison milanaise n'avait pas présenté de collection lors de la Fashion Week au mois de Mars 2017. Après huit mois d'avides recherches, c'est enfin chose faite avec l'annonce de la nomination du designer anglais, Paul Surridge. En Septembre 2017, celui dévoilera sa toute première collection féminine, pour le Printemps/Été 2018. Cet anglais, quadragénaire, a déjà fait ses armes stylistiques pour des maisons comme Acne Studios, Calvin Klein, Jil Sander, Burberry ou Z Zegna. Un beau parcours qui, espérons-le, sera fructueux chez Roberto Cavalli. | ||||||||||||||||||||||||
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Kris Grikaite apparaît comme la nouvelle fille à la mode, découverte et lancée par le casting director de Miuccia Prada. En exclusivité pour le défilé Prada Printemps/Eté 2017, la maison milanaise lui offre l'honneur d'ouvrir son show Automne/Hiver 2017/2018. Une place enviée, lui permettant d'accéder à la "Guest List" des filles les plus recherchées pour les séries Mode et Beauté actuelles. Ainsi, ce n'est pas une surprise de la voir en Une du Vogue Russe, alors qu'elle n'est seulement âgée que de 17 ans. Originiare d'Omsk, en Russie, Kris Grikaite a déjà posé pour la crème des photographes comme Steven Meisel, Patrick Demarchelier, Craig McDean, Mario Sorrenti, Willy Vanderperre, Christina MacDonald, Amy Troost ou Ben Weller. Toutefois, on peut déjà suivre sa jeune carrière et ses pérégrinations personnelles, au travers de son instagram personnel : @kris_grikaite. | ||||||||||||||||||||||||
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Les
couvertures à retenir au mois de Mai 2017
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Vittoria Ceretti pour Vogue Paris ; Katy Perry pour Vogue Usa ; Amber Valletta pour Vogue Grande-Bretagne ; Anna Ewers pour Vogue Italie ; Imaan Hammam pour Vogue Japon ; Irina Shayk, Kate Moss, Lara Stone pour Vogue Allemagne ; Grace Elizabeth pour Vogue Espagne ; Kris Grikaite pour Vogue Russie ; Liu Wen pour Vogue Chine ; Josephine Skriver, Stella Maxwell, Sara Sampaio pour Vogue Brésil ; Gigi Hadid pour Vogue Hollande ; Lara Stone pour Vogue Mexico ; Grace Hartzel pour Vogue Turquie ; Teresa Palmer pour Vogue Australie ; Freja Beha Erichsen pour Vogue Koréa ; Lera Abova pour Vogue Ukraine ; Daphne Groeneveld et Grace Bol pour Numéro France ; Steph van der Laan pour Numéro Tokyo ; Jess Cole pour Numéro Chine ; Gal Gadot pour W Usa ; Cara Delevingne et Dane de Haan pour V Usa ; Emma Watson pour Interview Usa ; Sienna Miller pour Allure Usa ; Bella Hadid, Candice Huffine, Elsa Hosk, Hailey Baldwin, Jasmine Tookes, Maria Borges pour Elle Usa ; Victoria Beckham pour Elle Uk ; Kendall Jenner pour Harper's Bazaar Usa ; Lindsey Wixson pour Harper's Bazaar Uk ; Adwoa Aboah, Slick Woods pour i-D Magazine ; Faretta Radic pour Self-Service ; Hailey Baldwin pour Lui ; Kendall Jenner pour Glamour France ; Kerry Washington pour Glamour Usa ; Ophelie Guillermand pour Marie-Claire Italie ; Julia Roberts pour Marie-Claire France. | ||||||||||||||||||||||||
Dior
Printemps/Eté
2017
par
Maria Grazia Chiuri
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Pour sa collection Prêt-à-porter Printemps/Eté 2017 Dior, Maria Grazia Chiuri, première femme à prendre la direction artistique de cette illustre maison, nous a transportés vers deux univers assez distincts : l'univers de l'escrime avec cette rigueur "sportive" et le monde des symboles divinatoires, liés à la cartomancie. Un terrain aléatoire qui promet "Monts et Merveilles" ou malheurs et désastres à ceux qui y croient. Cependant, dans l'univers de la mode, il y a peu de place au hasard. Surtout chez Dior. Maria Grazia Chiuri a trouvé ce moyen idéal de parer le mauvais œil, en alliant force et bonne fortune. Mais, aussi, peut-être d'installer, dès son arrivée, de bonnes ondes pour ses futures collections. La toute jeune britannique, Ruth Bell, "Boyish" à souhait, ouvre le show, tout de blanc vêtu. Une escrimeuse immaculée. Avec son knicker et plastron matelassé, rehaussé d'un petit cœur vermillon, chaussée de Vans rebrodés de la fameuse Abeille siglée CD, Ruth Bell ouvre une partition inédite de la maison Dior. Elle tacle, elle pointe, elle marque de son pas léger, le nouvel esprit Dior. Des vestes et Tee-shirts récupèrent l'idée du plastron. Elles peuvent s'amalgamer aisément d'une jupe en tulle, bardé de multiples volants aériens, telle sur Jess PW. Les douze premières silhouettes ne seront qu'une suite immaculée de looks sportifs, alliées à une représentation d'une certaine "Virginité". Telle une page blanche ou l'on réécrit l'histoire. Les petites abeilles, emblème Maison, si cher à Monsieur Dior, s'apposent sur les plastrons d'escrimeuses, baskets, cols de chemises, Marcel cintré ou blouson en cuir. Elles butinent de nombreuses pièces vestimentaires, mais savent se faire discrètes. Les mots "Christian Dior" et "J'adior" ornent les bretelles d'un bustier, l'élastique d'une culotte ou les sacs à mains. Et, même, les "claquettes" de Ratner. Les phrases acidulées des Tee-shirts seront les hits de cet été. Surtout, le "8 Dior" et le "We should be all feminists". On les recouvre, à la manière des tarots de Marseille, sur les robes du final : la paix, le pendu, le monde, la lune, l'amoureux. La combinaison, en cuir lactée, de Ratner possède des airs de ressemblance avec celle d'Uma Thurman dans le film "Kill Bill" de Tarantino. Un esprit de Combattante militante. Deux silhouettes Carmin germent comme deux respirations, parmi l'ensemble de ces looks en Black & White. Surement un clin d'œil au fameux rouge Valentino, ex-maison de Maria Grazia Chiuri. Quelques broderies végétales s'incrustent délicatement sur un jupon en tulle comme sur le jeune mannequin, Anique Joszi. La dentelle s'agrémente sur certains looks, arborant, ainsi, une touche plus délicate pour une collection un tantinet garçon manqué. La fameuse petite robe noire s'incarne, au travers d'une ligne stricte, comme sur le Top Valery Kaufman. On l'agrémente d'une casquette aux triples visières, d'un sac à bandoulière militaire et de ballerines pointues. La veste Bar immaculée de Camille Hurel se porte sur simple Tee-shirt au Logo "Dio(r)évolution" et d'un tutu cristallin anthracite. Vraiment dans l'air du temps. Des symboles comme le cœur, le trèfle à quatre feuilles, l'étoile ou l'épée ornent de longs tutus, bustiers ou robes. Un pull, en cachemire gris souris, inscrit de la mention "La Lune", s'enfile sur un tutu en mousseline rebrodé de petites fleurs dorées, comme sur Harleth Kuusik. Les robes deviennent presque des tatouages géants avec les nombreux signes divinatoires qui s'incrustent ou s'apposent les uns auprès des autres comme sur Chu Wong, Ellen Rosa, Vittoria Ceretti, Yasmin Wijnaldum. Malgré la force sombre des looks du soir, des petits volants froufrouteux éclosent sur quelques silhouettes aériennes comme celle de Noémie Abigail. Toutefois, Maria Grazia a désiré offrir des robes de soirées plus guillerettes. Souvent, mais raisonnablement, transparentes. Certaines ayant un esprit assez candides. Une collection entièrement aboutie. | ||||||||||||||||||||||||
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Avec le départ de Riccardo Tisci de la Maison Givenchy, il fallait bien s'attendre à quelques petites restructurations internes ainsi que des changements logistiques. Particulièrement, au sein de la mise en place des diverses collections prêt-à-porter. Ainsi, le calendrier de ses présentations en a été bouleversé, le temps que Clare Waight Keller puisse prendre ses marques. Par conséquent, cette dernière présentera sa première collection prêt-à-porter Maison, en Octobre 2017. En attendant, la maison Givenchy, au travers d'un communiqué de presse, annonce qu'elle ne défilera pas lors de la Fashion Week masculine parisienne, au mois de Juin. Toutefois, une collection Homme sera, néanmoins, réalisée par l'équipe de stylistes internes et dévoilée sur rendez-vous. Quant à la Couture, elle n'aura pas lieu cette saison, tout simplement. Espérons que Claire White Keller aura l'audace de faire perdurer cette tradition intrinsèque à la maison Givenchy. | ||||||||||||||||||||||||
Quand on entrecroise, la première fois, Alanna Arrington, on a la vague impression d'avoir déjà rencontré cette jolie métisse. Peut-être, son visage me remémore celle d'une vague connaissance. Une pensée éclaire rapidement mon esprit et me frappe, d'un coup, de plein fouet. Mais, oui. Alanna possède, singulièrement, cette similitude faciale avec le Top français, Noemie Lenoir. Elle n'est pas comme son sosie. Cependant sa silhouette longiligne, sa moue craquante, ses longues boucles "ébène", ses yeux couleur menthe à l'eau, son derme Caramel, sa bouche délicate et son énergie débordante me font penser, de suite, à Miss Lenoir. Originaire de Cedar Rapids, dans l'état d'Iowa, Alanna a tous les ingrédients morphologiques pour réussir comme mannequin. Joseph Altuzarra, Louis Vuitton, Chanel, Céline, Lanvin, Topshop ou Diane von Furstenberg ont déjà fait appel à ses services pour mettre en valeur leurs collections respectives. On a pu découvrir diverses aspects de sa personnalité dans les pages de magazines comme Pop par Oliver Hadlee Pearch, Vogue Allemagne par Patrik Sehlstedt, Vogue Russie par Jason Kibbler, Glamour Usa par Bjorn Loos, Vogue Espagne par Nico, Vogue Grande-Bretagne par Michael Hauptman, Teen Vogue par Daniel Jackson, Elle Usa par Dan Martensen, Allure Usa par Nathaniel Goldberg… Bref, une belle brochette d'éditoriaux qui devraient la porter vers les sentiers de la gloire. Une fille à convoyer. | ||||||||||||||||||||||||
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Quand New-York vient à la rencontre de Paris, cela accrédite de l'importance et du prestige de notre capitale comme épicentre de la Mode internationale. Ainsi, deux maisons américaines de Prêt-à-porter seront sollicitées à "exhiber" leurs collections respectives, lors de la semaine de la Haute-Couture, en Juillet. Proenza Schouler et Rodarte. Des leaders de la mode américaine dont leurs places au sein de la Fashion Week New-Yorkaise demeurent comme primordiaux. Elles sont, ainsi, les "membres invités" de la Chambre Syndicale de la Couture. Se joindront, également, la maison française Azzaro, dont Maxime Simoëns demeure le nouveau directeur artistique, les belges A.F. Vandevorst et le néerlandais Ronald van der Kemp. Un excellent moyen stratégique pour ces maisons de Prêt-à-porter d'avoir une visibilité originale auprès des acteurs de la mode. Tout en disposant d'une longueur de vie plus étendue pour la vente de leurs collections, en boutiques. Un partenariat Gagnant/Gagnant puisque cela permet, en d'autres termes, de dynamiser, stimuler et soutenir, aussi, la semaine de la Couture parisienne. | ||||||||||||||||||||||||
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Vittoria Ceretti apparait comme l'un des visages les plus présents et sollicités, depuis l'année 2016. Cette italienne, originaire de Brescia, a gagné ses lettres de noblesse, en décrochant le contrat Beauté, pour incarner le visage de la ligne cosmétiques Dolce&Gabbana. Les deux designers avouent avoir été rapidement séduits par leur compatriote, au caractère délicieux et exquis. Mais, aussi, par son regard incendiaire, empli de malice et de magnétisme. L'atout d'être Italienne a surement du être un facteur supplémentaire pour opter en sa faveur. Toutefois, avec l'aide de ses agents, Vittoria a su peaufiner son image d'une beauté plutôt classique, en fille "dans l'air du temps". Son visage, malléable à souhait, peut effectivement personnifier tout type de Femmes : la fatale, la rockeuse, l'ingénue, la grungette, la racée, la sportive, la working-girl, la geek.... Toute une palette de visages, lui consentant d'être "bankable" aux yeux des acteurs du business de la mode et la beauté. Récemment, Vittoria Ceretti a été aperçue sur les sets les plus convoités : Campagne Givenchy, Bottega Veneta et Alberta Ferretti Printemps/Eté 2017 ; couvertures du Vogue Usa du mois de Mars 2017 et Vogue Japon du mois d'avril 2017. Bref, des shootings qui assoient une réputation et peuvent faire pâlir d'envie une partie de ses consœurs. Voyageant énormément, cette finaliste du concours Elite Model Look 2012 s'est constituée un cercle d'amies, mannequins, elles-aussi, lui permettant de se sentir moins seule lors des diverses Fashion Weeks. On peut spécialement nommer Yasmin Wijnaldum, Irina Djuranovic, Estelle Chen ou Mayowa Nicholas. En résumé, une belle solidarité qui fait du métier de mannequin un chemin agréable pour celles qui savent tirer leur épingle du jeu. | ||||||||||||||||||||||||
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Les
couvertures à retenir au mois d'Avril 2017
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Christy Turlington pour Vogue Paris ; Selena Gomez pour Vogue Usa ; Kate Moss pour Vogue Grande-Bretagne ; Cara Taylor et Sarah Grace Wallerstedt pour Vogue Italie ; Vittoria Ceretti pour Vogue Japon ; Madonna pour Vogue Allemagne ; Adwoa Aboah et Cameron Russell pour Vogue Espagne ; Grace Elizabeth pour Vogue Russie ; Bella Hadid pour Vogue Chine ; Ellen Rosa pour Vogue Brésil ; Doutzen Kroes et Lara Stone pour Vogue Hollande ; Adwoa Aboah pour Vogue Mexico ; Lexi Boling et Jordan Barrett pour Vogue Turquie ; Karlie Kloss pour Vogue Australie ; EXO pour Vogue Koréa ; Amber Valletta pour Vogue Ukraine ; Alexandra Micu pour Numéro France ; Karen Elson pour Numéro Tokyo ; Lottie Moss pour Numéro Chine ; Anya Taylor Joy pour W Usa ; Kristen Stewart pour V Usa ; Michelle Pfeiffer pour Interview Usa ; Aamito Lagum, Dilone, Imaan Hammam pour Allure Usa ; Anne Hathaway pour Elle Usa ; Damaris Goddrie pour Elle Uk ; Paris Jackson pour Harper's Bazaar Usa ; Sienna Miller pour Harper's Bazaar Uk ; Mica Arganaraz pour i-D Magazine ; Faretta Radic pour Self-Service ; Flavia Lucini, Hailey Baldwin, Samantha Gradoville pour Lui ; Ophelie Guillermand pour Glamour France ; Chrissy Teigen pour Glamour Usa ; Melina Gesto pour Marie-Claire Italie ; Maiwenn pour Marie-Claire France. | ||||||||||||||||||||||||
Céline
Printemps/Eté
2017
par
Phoebe Philo
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La mode n'apparait pas seulement comme une réflexion objective sur le rapport au corps, à la matière, aux lignes ou aux formes. Elle semble bien plus profonde chez certains designers qui la considèrent comme un moyen d'expérimentation intellectuelle. Clairement, le vêtement ne reflète pas seulement une allure générale mais exprime également une part infime de sa personnalité. Son "Moi" profond. Un fragment lambda de ce que l'on incarne. Une carte identitaire. Phoebe Philo entre dans cette catégorie de "créateur intello", qui transcende le vêtement, au travers de dissymétrie, tournure stylistique, superpositions, jeux de couleurs afin d'exacerber l'individualité de sa future cliente. J'avoue qu'elle l'a merveilleusement bien illustré lors de cette présentation Printemps/Été 2017. Un style individuel qu'on peut affectionner. Ou pas. Mais, une configuration qui singularise la silhouette. Les joutes stylistiques se dessinent aisément autour d'aspect Street Wear qu'avait déjà expérimenté le collectif "Vêtements". Toutefois, on se réjouit à le recouvrer différemment via des sur-pantalons, chaussettes/gaines, vestes extra larges que les carrures extra Small d'une Greta Varlese ou Maggie Maurer ont du mal à absorber. Même les cabas demeurent over-size et se portent sous les bras.... Presque à racler le parquet. La poitrine demeure l'un des points de ralliement récurrent de cette collection. Une robe Anthracite dont le bustier éjecte gaiement un surplus de raphia immaculé, comme on peut le constater sur Iana Godina. Le top montant, Faretta Radic, se voit surligner sa silhouette d'une peinture bleue céruléen primitive, à la manière d'un Matisse. Une interminable chasuble/chemise laiteuse sur la jeune Huan Zouh la fait apparaître comme une silhouette fantomatique. Bouhouhou. Vera van Erp flâne sur le podium avec une robe dont la poitrine est mise en valeur par un macramé "Toiles d'araignées". Attention de ne pas tomber entre les filets de cette Spider Woman. Une robe jaune poussin récupère le concept, à la Poiret, d'une femme chauve-souris. Nonobstant, une femme bien de notre temps. En cuir, le pantalon prend une forme "Flare", mais jusqu'à mi-mollets. Le détail à retenir ici : pas de coutures, ni d'ourlets, les petits fils flottent au vent. L'impression finale se dégageant de cette présentation demeure l'Over-Size maitrisé. Comme si la femme Céline avait pioché dans un vestiaire quelconque des pièces lambda qu'elle aurait associé à sa guise, sans les avoir essayer... une sorte d'instinct primaire pour se constituer une silhouette "Trendy" rapide. Sans le moindre effort. L'instinct grégaire de la Mode, en soit. | ||||||||||||||||||||||||
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Cinq tableaux iconiques de la Renaissance ont été choisis par l'artiste contemporain, Jeff Koons, pour en imprégner les lignes de maroquinerie classiques Louis Vuitton : "La Joconde" de Léonard de Vinci, "La chasse au tigre" de Rubens, "La Gimblette" de Fragonard, "Champ de blé avec cyprès" de Van Gogh et "Mars, Vénus et Cupidon" du Titien. Des Oeuvres d'Art qui sortent du musée et deviennent, par la même occasion, des biens de grande consommation. Mais de luxe. Un partenariat artistique qui avait déjà débuté sous l'ère de Marc Jacobs et avait mis en avant des artistes en vue comme Takashi Murakami, Stephen Sprouse, Yayoi Kusama ou Daniel Buren. La campagne publicitaire a été shootée en Afrique du Sud et, l'actrice Alicia Vikander en sera l'égérie. L'ensemble des produits de luxe sera disponible, en boutiques, dès la fin Avril. | ||||||||||||||||||||||||
Grace Elizabeth incarne une certaine idée que l'on pourrait s'imaginer d'une beauté classique américaine. Plus clairement : saine, sportive, compétitrice et volontaire. Bref, un joli brun de fille mixant, à la fois, les traits singuliers d'une Gisèle Bundchen, le regard de braise de Nadja Bender et l'allure tonique de Bella Hadid ; Une exquise alliance, braquant, ainsi, tous les regards sur cette gracile nord-américaine. Au delà d'un tas de louanges, Miss Elizabeth dispose de toutes les prérogatives nécessaires pour cartonner sur la scène internationale de la planète Mode. Originaire de Floride, Grace a abondamment posé pour la marque Guess ou elle déploie une plastique irréprochable. Toutefois, au mois de Novembre 2016, Grace Elizabeth rafle ses lettres de noblesse en étant confirmée par la célèbre maison de lingerie Victoria's Secret pour personnifier l'un de leurs nouveaux anges. Visage de la ligne de lingerie Pink, collection plus jeune de VS, Grace rejoint trois autres Tops adoubés par la multinationale américaine du sous-vêtements : Behati Prinsloo, Alessandra Ambrosio et Elsa Hosk. Parallèlement, Miss Elizabeth a su capter les podiums Trendy de la saison Automne/Hiver 2017/2018 comme Chanel, Fenty x Puma, Giambattista Valli, Stella McCartney, Mugler, Elie Saab, Redemption, Isabel Marant, Lanvin Off-White, H&M, Dolce&Gabbana, Missoni, Etro, Sportmax, Versace, Moschino, Max Mara, Fendi, Ralph Lauren, Michael Kors, Tory Burch, Philipp Plein, Carolina Herrera, etc… Sa baby-face suscite, actuellement, l'intérêt de tous les acteurs majeurs du secteur. C'est pourquoi on ne s'étonne pas que des photographes comme Richard Burbridge, Ben Hassett, Miguel Reveriego, Charlotte Wales, Cass Bird, Sebastian Faena, Emma Summerton, Inez Lamsweerde & Vinoodh Matadin, Paola Kudacki, Josh Olins, Camilla Akrans ou Théo Wenner l'aient choisi pour immortaliser leurs images Mode et Beauté. Véritablement, elle possède la grâce innée. | ||||||||||||||||||||||||
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Paris
Automne/Hiver 2017/2018 : Quelle fille a ouvert quoi ?
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Acné Studios : Julia Nobis - Akris : Lena Hardt - Alexander McQueen : Saffron Vadher - Andrew GN : Maryna Polkanova - Ann Demeulemeester : Karo Laczkowska - Balenciaga : Eliza Douglas - Balmain : Gigi Hadid - Céline : Elien Swalens + Naki Depass - Chanel : Cara Taylor + Luna Bijl - Chloé : Birgit Kos - Christian Dior : Ruth Bell - Dries van Noten : Kristina de Coninck - Elie Saab : Noel Berry - Esteban Cortazar : Radhika Nair - Giambattista Valli : Skylar Tartz - Givenchy : Angelica Erthat + Leila Goldkuhl + Lululeika Ravn Liep - Guy Laroche : Lauren de Graaf - Haider Ackermann : Alek Wek - Hermès : Veronica Manavella - Isabel Marant : Faretta Radic - Jacquemus : Lameka Fox - John Galliano : Kateryna Zub - Julien David : Regan Kemper - Kenzo : Alek Wek - Lanvin : Vittoria Ceretti - Lemaire : Ana Arto - Léonard : Irina Kravchenko - Loewe : Lea Issarni - Louis Vuitton : Rianne van Rompaey - Maison Martin Margiela : Jess PW - Manish Arora : Nastya Kusakina - Miu Miu : Lily Nova - Nina Ricci : Mckenna Hellam - Paco Rabanne : Emm Arruda - Paul&Joe : Csepi Szilagyi - Rick Owens : Antonia Wesseloh - Rochas : Jessie Bloemendaal - Roland Mouret : Dilone - Sacai : Carol Paes - Saint-Laurent : Hiandra Martinez - Sonia Rykiel : Olympia Campbell - Stella McCartney : Luna Bijl - Thierry Mugler : Natasha Poly - Valentin Yudashkin : Johanna Defant - Valentino : Skylar Tartz - Veronique Branquinho : Marjan Jonkman - Vionnet : Mckenna Hellam - | ||||||||||||||||||||||||
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Même si sa carrière peut paraitre similaire à un Top confirmé, Jean Campbell demeure une jeune fille qui reste encore scolarisée. Cette British Girl a presque tout raflé depuis ses débuts dans le mannequinat, notamment les campagnes publicitaires les plus prisées comme Louis Vuitton, Burberry ou David Yurnam. Issue d'une famille dont la mode fait partie d'un ceratin train de vie (Madame Campbell a été rédactrice Mode au Vogue Anglais), Jean a su très vite s'adapter au rythme singulier de ce métier. En Octobre 2013, on aperçoit sa gracile silhouette au sein du Vogue Britannique dans une série de Bruce Weber, intitulé "Meet me in Montauk". Une histoire ou la simple nature embrasse et illumine la diaphane Jean. Une première série pour le Vogue Uk qui sera suivie par de nombreuses autres car le mensuel Britannique soutient activement les mannequins anglais. On peut les applaudir pour ce supporting sans faille, contrairement à d'autres magazines français. Ainsi, Miss Campbell pose succesivement pour Tim Walker (Décembre 2013), Paolo Roversi (Mai 2014, Octobre 2014), Alasdair McLellan (Mars 2016) ou Rory Payne (Mars 2016). Au delà de cela, d'autres magazines insulaires comme le i-D magazine, Love ou Dazed&Confused la bookent régulièrement au sein de leurs pages Mode. Visage régulier de la maison Burberry pour son Prêt-à-Porter, Jean Campbell demeure l'une des muses réccurentes du Gang de Nicolas Ghésquière pour la maison Vuitton. Et, cela depuis l'arrivée du créateur à la tête du vaisseau amiral du groupe LVMH. Elle a été de presque toutes les campagnes Prêt-à-Porter Vuitton. Comme une sorte de trait d'union entre chaque collection. Avec ses très longs cheveux blonds et un visage de poupée de porcelaine, Miss Campbell possède réellement tous les atouts physiques pour perdurer dans ce métier aux courbes fluctuantes. | ||||||||||||||||||||||||
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Les
couvertures à retenir au mois de Mars 2017
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Valentina Sampaio pour Vogue Paris ; Adwoa Aboah, Ashley Graham, Gigi Hadid, Imaan Hammam, Kendall Jenner, Liu Wen, Vittoria Ceretti pour Vogue Usa ; Gigi Hadid pour Vogue Grande-Bretagne ; Lulu pour Vogue Italie ; Irina Shayk pour Vogue Japon ; Jean Campbell pour Vogue Allemagne ; Andréea Diaconu pour Vogue Espagne ; Irina Shayk pour Vogue Russie ; Agnes Akerlund, Fei Fei Sun, Gigi Hadid, Imaan Hammam, Lexi Boling, Mica Arganaraz, Natalie Westling, Ruth Bell, Xiao Wen Ju, Yasmin Wijnaldum pour Vogue Chine ; Angelica Erthal et Lorena Maraschi pour Vogue Brésil ; Marjan Jonkman pour Vogue Hollande ; Grace Hartzel pour Vogue Mexico ; Stella Maxwell pour Vogue Turquie ; Cindy Crawford pour Vogue Australie ; Natalie Westling pour Vogue Koréa ; Anna Cleveland pour Vogue Ukraine ; Arizona Muse pour Numéro France ; Frida Aasen pour Numéro Tokyo ; Guinevere Van Seenus pour Numéro Chine ; Jennifer Lopez, Jessica Chastain, Taraji P Henson et Kate Moss pour W Usa ; Amber Valetta, Carolyn Murphy, Ellen Rosa, Joan Smalls, Kendall Jenner, Lara Stone pour V Usa ; Brit Marling pour Interview Usa ; Solange Knowles pour Elle Usa ; Allison Williams pour Allure Usa ; Emma Watson pour Elle Uk ; Rihanna pour Harper's Bazaar Usa ; Sam Rollinson pour Harper's Bazaar Uk ; Sasha Lane pour i-D Magazine ; Faretta Radic pour Self-Service ; Flavia Lucini, Hailey Baldwin et Samantha Gradoville pour Lui ; Taylor Hill pour Glamour France ; Alicia Keys pour Glamour Usa ; Eliza Cummings pour Marie-Claire Italie ; Nadja Auermann, Helena Christensen et Tatjana Patitz pour Marie-Claire France. | ||||||||||||||||||||||||
Prada
Printemps/Eté
2017
par
Miuccia Prada
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Une longue rampe métallique fait office de podium chez Prada pour le Printemps/Eté 2017. Un set froid, grisâtre, austère et industriel pouvant prêter à interrogation. Si on se laissait à divaguer, on pourrait présupposer une Mode tendant vers des formes rectilignes et droites. Probablement digne d'un univers cinématographique que l'on discerne dans un film comme "Bienvenue à Gattaca". Presque aseptisé. Toutefois, avec Prada, il faut se méfier à trop pousser son imagination car l'équipe maison a le chic de nous allouer des univers toujours fortuits. C'est en cela qu'ils suscitent la curiosité et paraissent souvent comme prescripteurs de tendances. Une fois encore, la surprise s'exerce autour des associations de matières. Le premier look demeure simplissime dans les lignes : Marcel ébène, ajusté au nombril, jupe ton sur ton aux genoux, petite ceinture "Navy", aux touches carmin et Anthracite, enserrant divinement la taille. Les claquettes "Outremer" prennent la forme d'un X sur les pieds menus. Une excellente entrée en matière avant de s'en prendre pleins les yeux. C'est Amanda Murphy, égérie récurrente, qui lance les hostilités vestimentaires avec les petites plumes aériennes qui se greffent autour des poignées du trench laiteux. Des écussons rectangulaires, aux accents "soixante-dix", cernent col et taille de la belle Américaine. Les claquettes se parent, cette fois, de grosses Marguerittes multicolores, presque enfantines. La campagne à nos pieds, en somme. Les chemises empruntent des imprimés "papier-peints psychédéliques", très forts, voir improbables. Toutefois, en les agrémentant de pulls sans manches unicolores (Lexi Boling, Nimue Smit), de longues jupes Soft (Lineisy Montero, Alisha Nesvat), de tuniques transparentes Pastel (Liya Kebede, Leila Zandonai), de brassières délicatement emplumées (Mica Arganaraz, Cara Taylor), de cache-cœur en cachemire (Camille Hurel ou Alexandra Micu), ces derniers s'adoucissent nettement. Les carreaux reviennent aussi en force, mais dans des tonalités solaires comme le mandarine, chocolat ou tournesol. Les culottes se font shorts et revêtissent, parfois, des imprimés qui me font penser au travail de Miro. Quelques vestes en cuir revêtent des apparences de "Motardes". Mais, dans des tonalités tapageuses. Pour sortir, les robes ou pyjamas, au col Mao, se font célestes et se teintent d'intonations douces (poussin, rose layette) ou d'imprimés criards. C'est selon l'envie. Des cristaux et perles dorées ourlent certaines tenues du final, représentant de délicats motifs floraux comme sur Kirin Dejoncheere, Julia Ratner, Mariana Zaragoza ou Natalie Westling. Le mélange des genres a toujours fait partie de l'histoire de Prada, pouvant parfois frôler le mauvais goût, comme disent certaines personnes. Toutefois, faut-il définir ce qu'est le mauvais goût du bon. Cela étant difficile puisque le bon goût des uns sera toujours le mauvais des autres. Ainsi, pour cette saison Printemps/Eté 2017, il sera surtout question d'adhésion plutôt que d'affection. | ||||||||||||||||||||||||
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Rédactrice
en chef du British Vogue depuis 1992, l'annonce du départ d'Alexandra
Schulman, du non moins célèbre magazine de Mode, en a "interloqué" plus
d'un. Après avoir mûrement réfléchit sa décision, Alexandra Schulman a
désiré mettre un terme à sa carrière afin, comme dit-elle, se recentrer
sur sa vie personnelle. Pour celle qui a édité plus de 300 numéros, il
demeurait inéluctable que l'on puisse rester indéfiniment à la tête du
prestigieux Vogue Uk. Parfois, ne faut-il pas savoir s'arrêter, au bon
moment, afin de passer le flambeau à la nouvelle génération de rédactrices
? Surprise. Pour la première fois, ce sera un rédacteur. Ainsi, dès le
mois de Juin 2017, Madame Schulman laissera sa place au non moins talentueux
Edward Enninful. Un vent nouveau devrait, alors, souffler sur la rédaction.
Premier homme à prendre en main la direction du British Vogue, Edward
Enninful possède déjà un parcours bien accompli au sein du business de
la mode. Styliste Photo au magazine indépendant i-D, dès l'âge de 19 ans,
Edward a développé ses compétences et son réseau professionnel pendant
plus de vingt-cinq années. Grand défendeur du multiculturalisme, il a
réussi à faire émerger davantage de diversités ethniques au sein de la
mode britannique. Il sera, notamment, un ambassadeur pour les mannequins
émergeants de couleurs comme Lorraine Pascale, Jourdan Dunn ou Malaika
Firth. Edward Enninful s'est déjà illustré au poste de Rédacteur en chef
au sein du prestigieux magazine américain W. On lui souhaite le meilleur
pour cette nouvelle aventure journalistique.
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Pour celle qui n'avait jamais rêvé d'être mannequin, Ellen Rosa a fait un parcours incroyable, en quelques saisons à peine. Il est vrai qu'elle possède des critères physiques adéquats pour ce métier singulier. Cette brésilienne, au cœur d'or, au teint caramel, aux yeux émeraude, ne pouvait rester cachée très longtemps des yeux de la Mode ; notamment avec ce physique extraordinaire, rappelant une Tyra Banks ou une Brandi Quinones. Pour celle qui souhaitait s'orienter vers des études en biologie, et plus spécifiquement le domaine de la biologie marine, ce sera, pour le moment, le mannequinat. Nonobstant, ce rêve d'adolescence pourra toujours s'accomplir dans les années à venir. Originaire de Nova Serrana, petite ville du Brésil, Ellen est repérée à l'âge de 14 ans sur le chemin de l'école. A Macae précisément. Trois années après avoir été découverte, cette jeune Brésilienne, âgée de 17 ans, en a fait du chemin. Depuis deux saisons, Ellen Rosa arpente et truste les meilleurs shoots au niveau international comme le Vogue Usa et V magazine par Mario Testino, le Vogue Italien par Patrick Demarchelier ou le magazine Interview américain par Christian McDonald. Au delà de sa silhouette exceptionnelle, sa gentillesse et sa bonne humeur sont des atouts supplémentaires qui font d'Ellen une fille extrêmement sollicitée. On saisit aisément pourquoi elle a pu décrocher des podiums majeurs lors des dernières Fashion-Weeks comme Chanel, Miu Miu, Sacai, Valentino ou Versace. | ||||||||||||||||||||||||
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Milan
Automne/Hiver 2017/2018 : Quelle fille a ouvert quoi ?
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- Alberta Ferretti : Gigi Hadid - Anteprima : Ava Dahlem - Antonio Marras : Zlata Semenko - Aquilano.Rimondi : Maryna Polkanova - Blugirl : Diana Galimullina - Blumarine : Bianca Balti - Bottega Veneta : Eva Herzigova - Byblos : Lucinda Schaefers - Dolce & Gabbana : Amanda Harvey - Dsquared2 : Natasha Poly - Emilio Pucci : Viktoria Machajdik - Emporio Armani : Irina Shnitman - Ermanno Scervino : Lara Mullen - Etro : Vittoria Ceretti - Fausto Puglisi : Grace Elizabeth - Fay : Kris Grikaite - Fendi : Cara Taylor - Francesco Scognamiglio : Roos Abels - Giorgio Armani : Ana Cristina - Gucci : Alex Kasperowicz - Jil Sander : Kateryna Zub - Marco De Vincenzo : Lina Hoss - Marni : Ansley Gulielmi - Max Mara : Natasha Poly - Missoni : Gigi Hadid - Moschino : Kendall Jenner - MSGM : Dylan Xue - N°21 : Kiki Willems - Philipp Plein : Imaan Hammam - Prada : Kris Grikaite - Salvatore Ferragamo : Kris Grikaite - Sportmax : Luna Bijl - Tod's : Mariacarla Boscono - Trussardi : Elsa Hosk - Versace : Hana Soukupova - |
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Révélations
des podiums
Printemps/Eté
2017
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Cette saison, nombreuses sont les très jeunes filles a avoir fait leurs premières armes sur les podiums internationaux. On peut noter une diversité accrue de types de Beauté pour cet Automne/Hiver sur les podiums. | ||||||||||||||||||||||||
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Toutefois, quelques beautés métissées comme Dilone, Alanna Arrington, Ari Westphal, Shelby Hayes ou Selena Forrest ont fait fortes impressions. | ||||||||||||||||||||||||
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Peu de nouvelles françaises, cette fois, sur les podiums internationaux. | ||||||||||||||||||||||||
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On peut, aussi, noter l'exclusivité de la brésilienne Lorena Maraschi qui a ouvert le show Prada. | ||||||||||||||||||||||||
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New-Faces
à suivre en 2017
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Adwoa
Aboah -
Alanna Arrington - Alexandra
Micu - Amandine
Renard
- Camille
Hurel - Cara
Taylor - Ellen
Rosa - Emily
Ratajkowski - Erika
Linder - Faretta
Radic - Grace
Bol - Grace
Elizabeth - Halima
Aden - He
Cong - Hiandra
Martinez - Jess
PW - Jessie
Bloemendaal - Julia
Jamin - Kirin
Dejonckheere - Kris
Gottschalk - Kris
Grikaite - Mariana
Zaragoza - Nora
Attal - Sarah
Grace Wallerstedt -
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Mannequins
à suivre en 2017
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Agnès Nieske Abma - Alice
Metza -
Allyson Chalmers - Angel
Rutledge - Anna
Mila Guyenz - Ari
Westphal - Bella
Hadid - Birgit
Kos - Céline
Bouly - Charlee
Fraser - Dilone
- Estella
Boersma -
Heather Kemesky - Jena
Goldsack - Jing
Wen - Julia
van Os - Julie
Hoomans -
Kadri Vahersalu - Katherine
Moore - Kiki
Willems - Li
Xiao Xing - Lina
Hoss - Lorena
Maraschi - Lou
Schoof - Luna
Bijl - Marjan
Jonkman - Mathilde
Brok Brandi - Odette
Pavlova - Peyton
Knight - Pooja
Mor - Romy
Schönberger - Roos
Abels - Ruth
Bell - Selena
Forrest - Steffy
Argelich - Stella
Maxwell - Vera
van Erp - Vittoria
Ceretti - Willow
Hand - Yasmin
Wijnaldum -
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YG | ||||||||||||||||||||||||
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