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PlaneteMode.com
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| Pour Hoyeon Jung, il y a clairement un avant et après "Squid Game" de Hwang Dong-hyeok. Cette série coréenne la révèle au grand public et la propulse comme comédienne de l'année 2022. Hoyeon passe d'un statut de mannequin lambda au statut de révélation internationale. De celle qu'il faut caster pour les prochaines séries et productions qui comptent ; les futures blockbusters. Hoyeon Jung apparait en couverture du Vanity Fair américain du mois de février 2023 au côté de la nouvelle génération de comédiens comptant à Hollywood : Aaron Taylor-Johnson, Ana de Armas, Austin Butler, Emma Corrin, Florence Pugh, Jeremy Allen White, Jonathan Majors, Julia Garner, Keke Palmer, Regé-Jean Page et Selena Gomez. | ||||||||
| Hoyeon Jung est née et a grandit à Myeonmok-Dong, petite bourgade jouxtant Séoul. Elle commence le mannequinat à l'âge de 16 ans. Etant longiligne, Miss Jung pense que le mannequinat pourrait être une excellente manière de gagner sa vie. Alors, pourquoi ne pas tenter l'expérience. Elle intègre l'agence Esteem Models et se présente dans la foulée au concours Next Top Model Koréa ou elle décroche la seconde place. Son sourire solaire fait de suite des ravages et charme son auditoire. Un atout qui devient rapidement son sésame. Toutefois, avant d'en arriver à cette belle prometteuse carrière de comédienne, Hoyeon Jung s'approprie les codes du mannequinat dès 2014 et pose pour les magazines coréens tels que Vogue Koréa, W Koréa ou Elle Koréa avec des photographes comme Hong Janghyun, Hyea W Kang, Kim Hee June, Zoo Yongyun. | ||||||||
| C'est lors de la Fashion Week Printemps/Eté 2017 (Septembre 2016), qu'Hoyeon se fait repérer par les casting-directors et intègre alors rapidement de prestigieux défilés : Opening Ceremony, Rag & Bones et Marc Jacobs à New-York ; Alberta Ferretti, Max Mara et Fendi à Milan ; Mais, c'est à Paris qu'elle étincelle en confirmant une exclusivité pour le show Louis Vuitton. Une prérogative qui lui permet d'incorporer le casting des campagnes Louis Vuitton Pré-Fall 2017 et Ready-to-Wear Automne/Hiver 2017, shooté par l'américain Bruce Weber. Sa longue crinière rouge coruscante apparait comme un élément déclencheur de cette ruée vers son look atypique. On la reconnait de suite sur un podium, un photo shoot ou dans la rue. Il y a presque un facteur marketing bien maitrisé. Même si ce n'est pas le cas de prime abord, avouons le que cette couleur de cheveux lui va alors comme un gant. Aujourd'hui, Hoyeon Jung triomphe aussi bien sur la scène internationale de la mode que sur les sets de séries ou cinéma. Muse récurrente de la maison Louis Vuitton avec qui elle a créé un lien privilégié, Hoyeon Jung demeure encore la petite princesse de la mode. Toutefois, nombre de ses admirateurs l'attendent pour la saison 2 de la série "Squid Game". Mais, en attendant ce nouveau chapitre, on peut suivre les pérégrinations d'Hoyeon Jung à travers son Instagram suivie par 21,6 millions d'abonnés : @hoooooyeony | ||||||||
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Les
couvertures à retenir au mois de Décembre 2025
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Mona Tougaard et Irina Shayk pour Vogue Paris ; Timothée Chalamet pour Vogue Usa ; Penelope Ternes pour Vogue Grande-Bretagne ; Divine Mugisha, Wali et Betsy Gaghan pour Vogue Italie ; Rina Sawayama pour Vogue Japon ; Penelope Ternes pour Vogue Allemagne ; A flamenco Catharsis pour Vogue Espagne ; Non distribué pour Vogue Russie ; (?) pour Vogue Chine ; (?) pour Vogue Brésil ; (?) pour Vogue Turquie ; Olivia Dean pour Vogue Australie ; Marjan Jonkman, Sakua Kambong pour Vogue Netherlands ; Zoe Saldaña pour Vogue Mexico ; (?) pour Vogue Arabie ; Hoyeon Jung pour Vogue Koréa ; Leighton Meester pour Vogue Grèce ; (?) pour Vogue Ukraine ; Olga Lane pour Vogue Pologne ; Daniela Pestova, Farida Ebene, Ama Okolo et Alexa Chung pour Vogue Tchécoslovaquie ; (?) pour Vogue Scandinavia ; (?) pour Vogue Portugal ; Maitreyi Ramakrishnan pour Vogue Inde ; Audrey Nuna pour Vogue Singapore ; (?) pour Vogue Hong-Kong ; (?) pour Vogue Thaïlande ; (?) pour Vogue Taiwan ; Aya Nakamura pour Numéro France ; Kiko Mizuhara pour Numéro Tokyo ; Jennifer Lawrence pour W Usa ; Gabbriette pour V Usa ; (?) pour Allure Usa ; Chase Infiniti, Emily Blunt, Hailee Steinfeld, Jennifer Aniston, Renate Reinsve, Rose Byrne, Wunmi Mosaku, Jessie Buckle, Teyana Taylor pour Elle Usa ; Alva Claire pour Elle Uk ; Jacqui Hooper pour Harper's Bazaar France ; Meghan Markle pour Harper's Bazaar Usa ; Jade Thirlwall, Aimee Lou Wood, Jodie Turner-Smith, Reese Witherspoonpour Harper's Bazaar Uk ; (?) pour Harper's Bazaar Italie ; Bianca Jagger, Emma Roberts, Simone Biles pour Harper's Bazaar Espagne ; Non distribué pour i-D Magazine ; Maria Araujo pour Marie-Claire Italie ; Karin Viard et Marina Fois pour Marie-Claire France ; Lennon Sorrenti, Libby Bennett, River Klein et Chloë Sevigny pour Self-Service ; Julia Garner, Karla Sofia Gascón, Mia Goth, Parker Posey, Charli xcx, Gracie Abrams, Amélia Gray, Aniek Pietersma, Bebe Parnell, Gabbriette, Libby Taverner, Liu Wen, Molly Bair, Nastassia Legrand, River Klein, Rosalieke Fuchs, Sasha Pivovarova, Selena Forrest, Stella Hanan, Xavier Karwas pour POP Magazine ; Eliza Douglas, Abuk Manyang Adeer, Bodine van Galen, Lina Zhang, Mila van Eeten, Penelope Ternes, Carine Roitfeld pour Purple Magazine ; Lisa, Blayse Jennings, Charlotte Boggia, Kai Schreiber, Leo Levy, Libby Taverner, Luiza Perote, Noor Khan, Sora Choi pour Another Magazine. |
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Dior
Automne/Hiver 2025/2026 par
Maria Grazia Chiuri
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Même si le secret restait encore bien gardé, quelques bruits de couloirs laissaient présager d'un éventuel départ de Maria Grazia Chiuri de la maison Dior. Néanmoins, la présentation prêt-à-porter automne/hiver 2025/2026 s'est déroulée sans effusion. Le set design, simple rectangle, demeure plutôt avant-gardiste avec son jeu de néons bleutés. Presque l'univers du jeu vidéo du premier opus d'anticipation "Tron". Une balancelle blanche flotte dans l'une des encoignures du décor. "One upon on time" estampille discrètement le rebord de cette blafarde plateforme. "Il était une fois", préliminaire favori des contes enfantins. Une jeune fille blafarde, rêveuse, à l'allure de Pierrette, marche délicatement puis vient s'asseoir. Elle songe en regardant le ciel à ce que pourrait être son avenir. Un moment de poésie mais aussi de réalité pour la directrice artistique de la maison Dior. Quel pourra être son avenir ? Puis, les lumières viennent fleureter le sol. Un ptéranodon alcalescent s'offre un délicat vol au dessus de cette volière fashion. Sandra Murray ouvre le show en dévoilant un tailleur marquant bien les courbes du corps. Avec une jupe crayon carbone. Le duo de tonalité beige et anthracite sera en grande majorité de mise sur toute la première partie de la présentation. Maria Grazia insère des macramés de dentelles sur des vestes, bustiers ou chemises. Les cols s'incrustent de volants de toutes formes dont certains viennent frôler l'imagerie posthumes du vestiaire Dior qu'un Gianfranco Ferré amplifiait avec frénésie lors de son passage chez Dior. Un col, presque jabot, dégringole en bénitier sur Edna Karibwami. Quelques manteaux sombres peuvent faire penser à l'imagerie ecclésiastique comme sur Agel Akol. Des sortes de dévotes fashion. D'autres looks penchent vers des accents plus gothiques. Une veste vermillon, sans attaches, enfilée par Betsy Gaghan, impose l'image d'une cavalière équestre classique. Maria Grazia introduit à nouveau le fameux T-Shirt "J'adore Dior" qui avait été l'un de ses hits lors des ses premiers défilés comme vu sur Sanija Dalecka ou Matilda Navratil. D'ailleurs, John Galliano avait lancé la tendance. Probablement cette envie irrépressible de nostalgie. Des pantalons corsaires viennent aussi embrasser le podium dans différentes matières textiles. Un effet pirate assuré. On perçoit aisément que Maria Grazia Chiuri choisit de reconsidérer l'héritage de la maison Dior, de le redéfinir, tout en le propulsant vers un esprit probablement plus actuel. Une pleine conscience ou les lignes demeurent plus élémentaires, pures, mais toujours gracieuses. Elle conceptualise son défilé comme une pièce de théâtre qu'elle découpe en plusieurs actes. Mais, avec l'aide du scénographe Robert Wilson pour une mise en scène étonnante et palpitante. Au delà de la balançoire inaugurale, de l'oiseau préhistorique, d'autres objets comme des rochers suspendus, cratères ou iceberg se manifestent afin de générer cette atmosphère onirique. Maria Grazia perdure et continue avec ses effets de transparences et de dentelles. Ca fonctionne toujours mais rien de nouveau, de neuf. La démarche générale juxtapose, à la fois, cette sensibilité structurée avec une fluidité évidente. D'une silhouette à l'autre, elle brouille les genres en alternant par exemple corsets avec vestes masculines, pans de dentelle avec tailleurs à la rigidité évidente. Un défilé qui se veut théâtrale dans sa forme mais qui cependant met en avant beaucoup trop de choix vestimentaires. C'est surtout dans les détails et accessoires que l'on dégote une certaine individualité comme des cols architecturaux, des ornements modulables, des ballerines liées par des rubans. Une présentation comptabilisant peut-être un peu trop de looks à mon gout. Toutefois, Maria Grazia a œuvré pour cette ultime collection prêt-à-porter à mettre en place un vestiaire intemporel, avec des références aux précédents directeurs artistiques comme John Galliano ou Gianfranco Ferré. Une collection qui pourrait être presque impossible à dater. Ce qui parait en soi pas si aisé à réaliser. |
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